
Rien n’est encore joué, mais, il semblerait que les acteurs économiques et les parlementaires de la majorité présidentielle se dirigent vers une solution médiane.
D’une part, le plafonnement des niches fiscales contenues dans la défiscalisation, devrait de manière modérée compenser l’investissement constructif. Selon le site du parti socialiste national, ce serait 100 à 200 millions qui seraient affectés au financement du RSA (budget global 1,5 milliard d’euro).
Cette perte annuelle pourrait être compensée par une hausse des moyens pour la construction de logements sociaux. “Je suis pour un volet logement social dans la défiscalisation”, a déjà dit Didier Robert, député-maire du Tampon. Il y aurait 30 000 logements à construire à terme. La Réunion économique n’est pas contre.
Mais, une fois encore les critères de financement et de défiscalisation vont se heurter aux réalités de Bercy. Il est clair que les promoteurs n’ont pas envie de s’investir sur des projets, à la marge bénéficiaire limitée.
Il faut ajouter à cela un problème essentiel, l’accession à la propriété pour quel public, avec quels revenus, quelles institutions financières et à quel taux de crédit ?
Ce problème est déjà posé dans la Loi programme pour l’Outre-mer qui sera votée en 2009. Les acteurs économiques souhaitent que l’Etat finance le logement social à hauteur au moins de 2.900 euros le mètre carré, au lieu de 2.300 euros prévus.
L’accord devrait se faire sur 2.700 euros le mètre carré. Ce qui signifie que le logement intermédiaire sur lequel misent aujourd’hui les promoteurs immobiliers, une moitié financée par l’Etat et l’autre par les futurs propriétaires, à revenus moyens (1.500 à 3.000 euros) pourrait à l’arrivée satisfaire tout le monde.
Et l’avantage d’une telle solution serait sa pérennité pour l’emploi et la stabilité économique.
D’une part, le plafonnement des niches fiscales contenues dans la défiscalisation, devrait de manière modérée compenser l’investissement constructif. Selon le site du parti socialiste national, ce serait 100 à 200 millions qui seraient affectés au financement du RSA (budget global 1,5 milliard d’euro).
Cette perte annuelle pourrait être compensée par une hausse des moyens pour la construction de logements sociaux. “Je suis pour un volet logement social dans la défiscalisation”, a déjà dit Didier Robert, député-maire du Tampon. Il y aurait 30 000 logements à construire à terme. La Réunion économique n’est pas contre.
Mais, une fois encore les critères de financement et de défiscalisation vont se heurter aux réalités de Bercy. Il est clair que les promoteurs n’ont pas envie de s’investir sur des projets, à la marge bénéficiaire limitée.
Il faut ajouter à cela un problème essentiel, l’accession à la propriété pour quel public, avec quels revenus, quelles institutions financières et à quel taux de crédit ?
Ce problème est déjà posé dans la Loi programme pour l’Outre-mer qui sera votée en 2009. Les acteurs économiques souhaitent que l’Etat finance le logement social à hauteur au moins de 2.900 euros le mètre carré, au lieu de 2.300 euros prévus.
L’accord devrait se faire sur 2.700 euros le mètre carré. Ce qui signifie que le logement intermédiaire sur lequel misent aujourd’hui les promoteurs immobiliers, une moitié financée par l’Etat et l’autre par les futurs propriétaires, à revenus moyens (1.500 à 3.000 euros) pourrait à l’arrivée satisfaire tout le monde.
Et l’avantage d’une telle solution serait sa pérennité pour l’emploi et la stabilité économique.