Du 18 au 24 février 2019, 221 cas de dengue ont été confirmés, indiquent la préfecture et l'ARS. Les cas ont été identifiés dans 18 communes, dont les foyers les plus actifs sont situés à :
- La Rivière Saint-Louis (56 cas)
- Saint-Louis (48 cas)
- Les Avirons (20 cas)
- Saint-Pierre (15 cas)
- L’Etang-Salé (13 cas)
- Ravine des Cabris (11 cas)
Parmi les 1 189 cas signalés depuis le 1er janvier 2019, 30 ont conduit à une hospitalisation et 71 passages aux urgences ont été enregistrés. Actuellement, le sud de l’île reste le plus affecté malgré la dispersion des cas. A ce stade, le risque réside dans l’extension des zones de circulation virale à des zones relativement épargnées jusqu’à présent. Les autorités rappellent que la dengue est une maladie, qui peut évoluer vers une forme sévère et être fatale, selon l’état de santé du patient. Pour protéger les populations vulnérables, le service de lutte anti-vectorielle de l’ARS Océan Indien poursuit la distribution gratuite de répulsifs dans les zones de circulation de la dengue, autour des personnes malades. Par ailleurs, afin d’inciter la population à adopter les bons gestes de prévention, les actions de sensibilisation se poursuivent, accompagnée de la campagne de communication : « La dengue, STOP aux idées reçues ».
Au total, depuis le début de l’épidémie, on enregistre : 8 064 cas autochtones (dont 1 189 cas depuis le 1er janvier 2019), 186 hospitalisations pour dengue (dont 30 hospitalisations depuis le 1er janvier 2019), 546 passages aux urgences (dont 71 passages depuis le 1er janvier 2019), 6 décès dont 3 ont été considérés, après investigations, comme directement liés à la dengue.
Au vu de l’augmentation du nombre de cas en ce début d’année, les agents de la lutte anti-vectorielle de l’ARS Océan Indien (ARS OI), renforcés par les équipes d’interventions du RSMA et du SDIS, interviennent jour et nuit sur l’ensemble des habitations où, un, ou plusieurs cas de dengue ont été signalés. Les opérations de démoustication sont réalisées, uniquement autour du domicile des personnes malades signalées par les médecins ou laboratoires dans les zones de circulation du virus. Actuellement, 160 agents sont coordonnés pour conduire ces opérations de traitement autour des cas (équipes de l’ARS OI, du SDIS et du RSMA).
- La Rivière Saint-Louis (56 cas)
- Saint-Louis (48 cas)
- Les Avirons (20 cas)
- Saint-Pierre (15 cas)
- L’Etang-Salé (13 cas)
- Ravine des Cabris (11 cas)
Parmi les 1 189 cas signalés depuis le 1er janvier 2019, 30 ont conduit à une hospitalisation et 71 passages aux urgences ont été enregistrés. Actuellement, le sud de l’île reste le plus affecté malgré la dispersion des cas. A ce stade, le risque réside dans l’extension des zones de circulation virale à des zones relativement épargnées jusqu’à présent. Les autorités rappellent que la dengue est une maladie, qui peut évoluer vers une forme sévère et être fatale, selon l’état de santé du patient. Pour protéger les populations vulnérables, le service de lutte anti-vectorielle de l’ARS Océan Indien poursuit la distribution gratuite de répulsifs dans les zones de circulation de la dengue, autour des personnes malades. Par ailleurs, afin d’inciter la population à adopter les bons gestes de prévention, les actions de sensibilisation se poursuivent, accompagnée de la campagne de communication : « La dengue, STOP aux idées reçues ».
Au total, depuis le début de l’épidémie, on enregistre : 8 064 cas autochtones (dont 1 189 cas depuis le 1er janvier 2019), 186 hospitalisations pour dengue (dont 30 hospitalisations depuis le 1er janvier 2019), 546 passages aux urgences (dont 71 passages depuis le 1er janvier 2019), 6 décès dont 3 ont été considérés, après investigations, comme directement liés à la dengue.
Au vu de l’augmentation du nombre de cas en ce début d’année, les agents de la lutte anti-vectorielle de l’ARS Océan Indien (ARS OI), renforcés par les équipes d’interventions du RSMA et du SDIS, interviennent jour et nuit sur l’ensemble des habitations où, un, ou plusieurs cas de dengue ont été signalés. Les opérations de démoustication sont réalisées, uniquement autour du domicile des personnes malades signalées par les médecins ou laboratoires dans les zones de circulation du virus. Actuellement, 160 agents sont coordonnés pour conduire ces opérations de traitement autour des cas (équipes de l’ARS OI, du SDIS et du RSMA).