Un jeune homme de 26 ans comparaissait ce lundi après-midi devant le tribunal de Champ Fleuri dans le cadre d'une comparution immédiate.
Il était reproché à Jean-Christopher B. d'avoir, le 9 novembre dernier au Port, commis des violences suivies d'une incapacité de travail supérieur à 8 jours - en l'occurence 21 jours - sur un mineur en présence d'un autre mineur, un enfant de 1 an, avec la circonstance aggravante d'avoir autorité sur la victime. Dans ce cas présent, il s'agissait de son ti-père.
Alors qu'une demande d'expertise psychiatrique avait été demandée à l'égard du prévenu mais n'a pu être effectuée avant l'audience, le tribunal a renvoyé l'affaire au 10 janvier 2020 afin d'avoir tous les éléments de personnalité du jeune homme et pouvoir le juger. Se posait donc la question du maintien en détention de Jean-Christopher B.
"Les faits sont extrêmement graves. Il a porté des coups sur un enfant de 2 ans sur la tête et sur le corps. Sa tête était toute gonflée, ces violences, qui sont incontestables, sont aussi inadmissibles. Je demande son maintien en détention", a requis la procureure, évoquant notamment le risque de réitération des faits.
Un avis suivi puisque le tribunal a prononcé son maintien en détention.
Il était reproché à Jean-Christopher B. d'avoir, le 9 novembre dernier au Port, commis des violences suivies d'une incapacité de travail supérieur à 8 jours - en l'occurence 21 jours - sur un mineur en présence d'un autre mineur, un enfant de 1 an, avec la circonstance aggravante d'avoir autorité sur la victime. Dans ce cas présent, il s'agissait de son ti-père.
Alors qu'une demande d'expertise psychiatrique avait été demandée à l'égard du prévenu mais n'a pu être effectuée avant l'audience, le tribunal a renvoyé l'affaire au 10 janvier 2020 afin d'avoir tous les éléments de personnalité du jeune homme et pouvoir le juger. Se posait donc la question du maintien en détention de Jean-Christopher B.
"Les faits sont extrêmement graves. Il a porté des coups sur un enfant de 2 ans sur la tête et sur le corps. Sa tête était toute gonflée, ces violences, qui sont incontestables, sont aussi inadmissibles. Je demande son maintien en détention", a requis la procureure, évoquant notamment le risque de réitération des faits.
Un avis suivi puisque le tribunal a prononcé son maintien en détention.