Patrick Savatier est monté au créneau, cette fois-ci pour venir en aide aux anciens employés de l’ARIQTD. “Le mois dernier, nous leur avons offerts des colis alimentaires, aujourd’hui, nous leur donnons des cadeaux de Noël pour les enfants”.
“Un geste qui ramène le sourire sur les visages”, selon Sylviane Soupou, représentante du personnel. “Car, ils devront attendre au moins quinze jours pour pouvoir profiter des indemnités payées par chèque. C’est le temps nécessaire pour que l’argent arrive sur leur compte”.
Cet argent versé à la suite de la liquidation de l’ARIQTD et de leur licenciement est une bouffée d’air d’un point de vue économique. Toutefois, l’aspect administratif reste complexe pour la plupart des ex-employés.
“Il y a des jours, on ne sait vers qui se tourner pour faire valoir nos droits. Chacun se renvoie la balle, la balle c’est nous bien sûr”, déplore René Sucher, ex-éducateur d’ARIQTD.
“On les a jetés à la rue comme des chiens, comme des bâtards…” Le visage de Patrick Savatier est passé en une seconde du pâle au rouge, comme un “coq bataille”. Le porte-parole de “Papa momon lé la” dénonce la situation créée par l’ancienne municipalité.
“Virapoullé ne pouvait plus embaucher à la mairie, il a alors créé l’ARIQTD. Le président était le directeur de cabinet du sénateur, celui-ci en était aussi le mandataire financier”. Selon Patrick Savatier, cette structure avait été créée “pour pouvoir continuer à recruter”.
“Entre décembre 2007 et mars 2008, malgré un déficit de 250.000 euros, l’association a embauché 93 contrats aidés. 63 autres contrats ont été signés par une autre association, l’ADE, au cours de cette période de campagne électorale pour les municipales”.
Patrick Savatier fustige la méthode de gestion et l’inconscience de Jean-Paul Virapoullé. Il s’est dit prêt à aider les licenciés à repartir sur une association indépendante. “Nous serons à leur côté”.
“Un geste qui ramène le sourire sur les visages”, selon Sylviane Soupou, représentante du personnel. “Car, ils devront attendre au moins quinze jours pour pouvoir profiter des indemnités payées par chèque. C’est le temps nécessaire pour que l’argent arrive sur leur compte”.
Cet argent versé à la suite de la liquidation de l’ARIQTD et de leur licenciement est une bouffée d’air d’un point de vue économique. Toutefois, l’aspect administratif reste complexe pour la plupart des ex-employés.
“Il y a des jours, on ne sait vers qui se tourner pour faire valoir nos droits. Chacun se renvoie la balle, la balle c’est nous bien sûr”, déplore René Sucher, ex-éducateur d’ARIQTD.
“On les a jetés à la rue comme des chiens, comme des bâtards…” Le visage de Patrick Savatier est passé en une seconde du pâle au rouge, comme un “coq bataille”. Le porte-parole de “Papa momon lé la” dénonce la situation créée par l’ancienne municipalité.
“Virapoullé ne pouvait plus embaucher à la mairie, il a alors créé l’ARIQTD. Le président était le directeur de cabinet du sénateur, celui-ci en était aussi le mandataire financier”. Selon Patrick Savatier, cette structure avait été créée “pour pouvoir continuer à recruter”.
“Entre décembre 2007 et mars 2008, malgré un déficit de 250.000 euros, l’association a embauché 93 contrats aidés. 63 autres contrats ont été signés par une autre association, l’ADE, au cours de cette période de campagne électorale pour les municipales”.
Patrick Savatier fustige la méthode de gestion et l’inconscience de Jean-Paul Virapoullé. Il s’est dit prêt à aider les licenciés à repartir sur une association indépendante. “Nous serons à leur côté”.