L’indicateur de climat des affaires (ICA) établi au travers de l’enquête d’opinion menée par l’IEDOM auprès d’un panel de chefs d’entreprise du territoire, atteint en moyenne 104 points contre 100 points en 2016, à son plus haut niveau depuis dix ans. Il termine l’année 2017 sur une hausse sensible (indice à 108,7 points au quatrième trimestre), augurant des perspectives bien orientées pour 2018.
Des effets d’entrainements positifs sont générés par le renforcement de l’investissement qui gagne enfin en vigueur, confortés par une trésorerie et des actifs financiers en progression. La consommation des ménages est vigoureuse, dans un contexte de progression de la masse salariale, de faible inflation et d’accélération du crédit. L’emploi salarié privé progresse, tandis que les emplois en contrats courts se développent nettement et que le marché de l’emploi fait face à la baisse des emplois aidés.
Cette amélioration globale profite à la plupart des secteurs. L’agriculture maintient son activité, avec une campagne cannière en hausse et une filière avicole qui se redresse. Le commerce et les IAA profitent de la bonne orientation de la consommation. L’activité du BTP est soutenue par les travaux routiers, aéroportuaires et des centres hospitaliers. A contrario, la construction et la réhabilitation de logements sociaux sont moins dynamiques qu’attendu. La situation des services marchands est jugée favorable, en particulier l’industrie touristique. L’activité bancaire est vigoureuse et accompagne cette embellie, dans un contexte de restructurations organisationnelles et de changement de modèle de la banque de détail.
L’année 2017 s’est terminée sur un élan positif, ne laissant pas percevoir de dangers de ralentissement brutal à court terme, même si certains leviers de croissance sont appelés à s’essouffler. L’enjeu de 2018 sera de parvenir à maintenir ce rythme de croissance et à continuer de développer de nouveaux moteurs de relais structurants et durables.
Des effets d’entrainements positifs sont générés par le renforcement de l’investissement qui gagne enfin en vigueur, confortés par une trésorerie et des actifs financiers en progression. La consommation des ménages est vigoureuse, dans un contexte de progression de la masse salariale, de faible inflation et d’accélération du crédit. L’emploi salarié privé progresse, tandis que les emplois en contrats courts se développent nettement et que le marché de l’emploi fait face à la baisse des emplois aidés.
Cette amélioration globale profite à la plupart des secteurs. L’agriculture maintient son activité, avec une campagne cannière en hausse et une filière avicole qui se redresse. Le commerce et les IAA profitent de la bonne orientation de la consommation. L’activité du BTP est soutenue par les travaux routiers, aéroportuaires et des centres hospitaliers. A contrario, la construction et la réhabilitation de logements sociaux sont moins dynamiques qu’attendu. La situation des services marchands est jugée favorable, en particulier l’industrie touristique. L’activité bancaire est vigoureuse et accompagne cette embellie, dans un contexte de restructurations organisationnelles et de changement de modèle de la banque de détail.
L’année 2017 s’est terminée sur un élan positif, ne laissant pas percevoir de dangers de ralentissement brutal à court terme, même si certains leviers de croissance sont appelés à s’essouffler. L’enjeu de 2018 sera de parvenir à maintenir ce rythme de croissance et à continuer de développer de nouveaux moteurs de relais structurants et durables.