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19 mars 1996… 19 mars 1996… 19 mars 2016 : les anniversaires de la honte du PCR !

Nos communistes locaux, du moins ce qu’il en reste, quelques momies bêtifiantes, n’en finissent plus de dire qu’ils ont été à l’origine de la départementalisation. Il est vrai qu’ils y ont mis du leur. Mais parlent beaucoup plus de Vergès que de Lépervanche, celui qu’il vaut mieux oublier. Lorsque le vénérable Lépervanche est mort, le PCR […]

Ecrit par – le lundi 21 mars 2016 à 11H22

Nos communistes locaux, du moins ce qu’il en reste, quelques momies bêtifiantes, n’en finissent plus de dire qu’ils ont été à l’origine de la départementalisation. Il est vrai qu’ils y ont mis du leur. Mais parlent beaucoup plus de Vergès que de Lépervanche, celui qu’il vaut mieux oublier.

Lorsque le vénérable Lépervanche est mort, le PCR s’est désintéressé de ses descendants pour porter aux nues l’actuelle momie balbutiante. C’est la fille de Léonus Bénard, Marguerite Payet, qui a recueilli puis adopté René et l’a élevé comme son propre fils. Ceci pour rétablir un pan de vérité historique que les soi-disant historiens du PCR, le Serviable-de-service en tête, ne raconteront jamais.
 
Le 19 mars marque un autre forfait du PCR. En 1996.

François Folio, directeur du Théâtre d’Azur, le sait, qui en porte toujours les stigmates.
A cette époque, le Théâtre d’Azur occupait des locaux du cinéma Alpha (ciné porno… ciné Mario, pour ceux qui sont nés après). Son créateur et directeur, François Folio, continue aujourd’hui de maintenir à bout de bras la chair de sa chair.

Contrairement à bien d’autres, Folio a une grande gueule. Ce que les timides appellent un sale caractère et que les gens lucides appellent « du caractère », tout simplement. Il n’a pas l’échine souple, il est vrai, mais je serais bien le dernier à le lui reprocher.

N’ayant pas plu à la municipalité communiste d’Elie Hoarau, Folio faillit le payer de sa vie.
Il vit débarquer dans ses locaux les nervis d’Elie, dont leur chef, le sinistre « Doudou » Gonthier. Celui qui se balade avec des manches de pioches armés de barbelés dans son coffre. Car cet imitateur de Staline est aussi un lâche.

Folio et ses collaborateurs payèrent très cher cette non-révérence au léninisme-stalinisme. Tabassage en règle, hosto, etc. Le tribunal eut à se prononcer… sauf contre Elie Hoarau qui se camoufla derrière les « agissements incontrôlés de collaborateurs trop zélés », le tout-venant en somme.

Suite à cette tentative de meurtre (je dis les choses comme elles doivent être dites !), le Théâtre de Folio s’exila au Tampon où, aujourd’hui il a pris largement ses marques. Tel quel, malgré ce que l’on appelle son mauvais caractère, Folio a le seul théâtre de l’île permanent. Avec plus de trente créations à son actif.

J’étais avec lui, en cet anniversaire de notre départementalisation. Il m’a simplement dit, en me serrant le poignet :  » Vingt ans, Julot ! Vingt ans de merde et de bons souvenirs !  »

Longue route, l’artiste, et ne ferme surtout pas ta grande gueule !

Ton ami JULOT.
 

 

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