A 17h15, la présidente, Nassimah Dindar, s'est prononcée face à la presse, après la réunion à la Villa du Département : "Nous voulons continuer l'accompagnement des personnes âgées pour éviter tout drame. Nous allons donner 1.000 euros aux ex-salariés pour ne pas ajouter de l'injustice à une situation de détresse sociale. Nous sommes dans un État de droit et nous devons respecter la loi pour chaque décision".
Pour les ex-salariés, cette mesure d'urgence est "une démarche pour organiser le désordre social". Une partie des manifestants est remonté au Palais de la Source, à pied par la rue de Paris, à Saint-Denis, en criant "une seule solution, la manifestation!", et a exigé que Nassimah Dindar se prononce face à l'ensemble des ex-salariés au sein du Département.
Vivement attaquée par un représentant syndical en colère, la présidente a fait demi-tour et attend désormais qu'une délégation se constitue dans la demi-heure qui suit. Mais les ex-salariés, eux, restent sur leur position et veulent un discours de la présidente devant l'ensemble des ex-salariés, au Conseil général.
Pour les ex-salariés, cette mesure d'urgence est "une démarche pour organiser le désordre social". Une partie des manifestants est remonté au Palais de la Source, à pied par la rue de Paris, à Saint-Denis, en criant "une seule solution, la manifestation!", et a exigé que Nassimah Dindar se prononce face à l'ensemble des ex-salariés au sein du Département.
Vivement attaquée par un représentant syndical en colère, la présidente a fait demi-tour et attend désormais qu'une délégation se constitue dans la demi-heure qui suit. Mais les ex-salariés, eux, restent sur leur position et veulent un discours de la présidente devant l'ensemble des ex-salariés, au Conseil général.