
Sur les barrages filtrants, les professionnels de l’Aveca et du Collectif des terrassiers s’attendent à un ultimatum de la Préfecture. “Comme nous n’avons eu aucune proposition de discussion ou de rendez-vous, nous nous attendons à un prochain rapport de force”.
Dans cette hypothèse, quelle sera la position des “grévistes” ? A cette heure de la journée, la réponse est unanime : “nous restons sur place”. Les transporteurs et les chefs de TPE et de PME jouent “leurs dernières cartes. Cela fait plus de 10 mois que la Préfecture nous raconte des histoires”.
Il ne faut donc pas s’attendre à un assouplissement des trois dispositifs à La Possession, sur l’axe mixte de Cambaie et à l’entrée de la route des Tamarins (côté Saint-Paul). Le flot de voitures de l’heure de pointe complique depuis tout à l’heure une situation déjà difficile pour les automobilistes.
L’attente dans les embouteillages va encore s’allonger. Entre colère et énervement, certains s’en prennent aux “grévistes”, à la Préfecture, aux forces de l’ordre “qui se contentent d’assurer la sécurité des individus et des biens”. Ce sont sans doute les habitants des hauts de Saint-Paul qui souffrent le plus depuis ce matin.
Le temps passé dans les ralentissements et les embouteillages devraient être d’une heure pour les plus près de leur maison et de trois heures pour ceux qui en sont les plus éloignés. Et ce n’est que le premier jour…
Dans cette hypothèse, quelle sera la position des “grévistes” ? A cette heure de la journée, la réponse est unanime : “nous restons sur place”. Les transporteurs et les chefs de TPE et de PME jouent “leurs dernières cartes. Cela fait plus de 10 mois que la Préfecture nous raconte des histoires”.
Il ne faut donc pas s’attendre à un assouplissement des trois dispositifs à La Possession, sur l’axe mixte de Cambaie et à l’entrée de la route des Tamarins (côté Saint-Paul). Le flot de voitures de l’heure de pointe complique depuis tout à l’heure une situation déjà difficile pour les automobilistes.
L’attente dans les embouteillages va encore s’allonger. Entre colère et énervement, certains s’en prennent aux “grévistes”, à la Préfecture, aux forces de l’ordre “qui se contentent d’assurer la sécurité des individus et des biens”. Ce sont sans doute les habitants des hauts de Saint-Paul qui souffrent le plus depuis ce matin.
Le temps passé dans les ralentissements et les embouteillages devraient être d’une heure pour les plus près de leur maison et de trois heures pour ceux qui en sont les plus éloignés. Et ce n’est que le premier jour…