
Les ex-salariés de l'Arast, ce matin, dans les escaliers du Conseil général.
Après le Conseil général, puis la préfecture, une partie des ex-salariés de l'Arast s'est rendue dans les locaux de l'AGS qui est chargée de verser les indemnités de licenciement.
Une partie des manifestants se trouve à l'extérieur, et une autre, une soixantaine, ne cesse de sonner à la porte dans l'espoir qu'on leur ouvre. En vain.
Du coup, symboliquement, du papier journal a été brûlé devant la porte, et l'eau et l'électricité ont été coupées. Certains menacent de casser les voitures si l'accès ne leur est pas autorisé.
Une partie des manifestants se trouve à l'extérieur, et une autre, une soixantaine, ne cesse de sonner à la porte dans l'espoir qu'on leur ouvre. En vain.
Du coup, symboliquement, du papier journal a été brûlé devant la porte, et l'eau et l'électricité ont été coupées. Certains menacent de casser les voitures si l'accès ne leur est pas autorisé.