
Les syndicats des organismes CAF-CGSS souhaitent raller les élus à leur cause et qu'ils portent leurs revendications à Paris. "Puisqu'on nous dit que c'est un problème qui est d'ordre "politique", à notre tour d'interpeller nos élus locaux pour nous faire entendre" affirme Louise Hoarau, déléguée syndicale de la CFDT de la Sécurité Sociale. Elle poursuit : "au niveau national, personne ne fait un pas pour faire avancer les choses, on adopte la même démarche".
Démarré le 16 avril dernier, les agents grévistes de la CAF-CGSS restent sur leur revendication principale de la même augmentation salariale que celle pratiquée aux Antilles et réclament une augmentation de 10% des salaires. Les élus locaux sont interpellés par l'intersyndicale. Après Gilbert Annette, maire de Saint-Denis hier, au tour de Paul Vergès, Président de la Région de recevoir les grévistes, avant une rencontre avec Nassimah Dindar demain mercredi, en cours de journée.
La déléguée syndicale CFDT réitère son souhait d'ouvrir de nouvelles négociations mais regrette le silence radio des interlocuteurs concernés. "On n'a plus de nouvelles depuis la fois dernière avec les mandats qui ont été donnés aux directeurs des deux institutions, qui nous ont par ailleurs apporté aucune autre nouveautés dans leurs propositions".
Aucun service ne fonctionne pour l'heure. Les grévistes sont toujours de l'ordre de 90 à 95% mobilisés. Le mouvement s'est même durci ce matin avec une opération escargot effectuée sur le Boulevard Sud ainsi que sur le Boulevard Lancastel.
Démarré le 16 avril dernier, les agents grévistes de la CAF-CGSS restent sur leur revendication principale de la même augmentation salariale que celle pratiquée aux Antilles et réclament une augmentation de 10% des salaires. Les élus locaux sont interpellés par l'intersyndicale. Après Gilbert Annette, maire de Saint-Denis hier, au tour de Paul Vergès, Président de la Région de recevoir les grévistes, avant une rencontre avec Nassimah Dindar demain mercredi, en cours de journée.
La déléguée syndicale CFDT réitère son souhait d'ouvrir de nouvelles négociations mais regrette le silence radio des interlocuteurs concernés. "On n'a plus de nouvelles depuis la fois dernière avec les mandats qui ont été donnés aux directeurs des deux institutions, qui nous ont par ailleurs apporté aucune autre nouveautés dans leurs propositions".
Aucun service ne fonctionne pour l'heure. Les grévistes sont toujours de l'ordre de 90 à 95% mobilisés. Le mouvement s'est même durci ce matin avec une opération escargot effectuée sur le Boulevard Sud ainsi que sur le Boulevard Lancastel.