
Les manifestants occupent le local où se déroulait la formation, après le départ des stagiaires
Hugues Maillot, l'homme à tout faire de Nassimah Dindar, et M. Momar Lo sont retenus dans les locaux du GIP - SAP, par une soixantaine des ex-salariés de l'ARAST qui veut des explications sur cette formation d'aides à domicile, à laquelle ne participe aucun de leurs ex-collègues.
MM. Momar Lo, Maillot et Dorseuil, ces derniers, également ex-employés de l'Arast, qui animaient la formation interrompue, n'ont pu répondre aux questions des ex-salariés en colère. “Le Conseil général avait dit qu'il reprendrait tous les travailleurs sociaux de l'Arast dans la nouvelle structure”.
“Aujourd'hui, il y a 1.200 aides à domicile, TISF et éducateurs qui sont à la rue, et la plupart est sans revenu ou indemnité depuis la fin du mois de novembre, et qu'est-ce que fait le Département, il forme de nouvelles aides à domicile”. Les stagiaires en question ont été invités à partir, et ce dès l'arrivée des manifestants.
La colère est double dans le rang des protestataires. “Non seulement, le Conseil général ne veut plus de nous, mais en plus, il ne répond pas à la demande d'informations de l'AGS, ce qui permettrait d'indemniser les ex-employés qui n'ont aucune solution pour retrouver un emploi”. Il faut savoir que le Fonds de garantie réclame au Département la liste des ex-salariés de l'Arast qui ne seront pas repris dans le GIP - SAP.
Nassimah Dindar avait répondu, lors de la signature du premier contrat d'embauche au GIP, que ce problème ne concernait plus le Conseil général.
MM. Momar Lo, Maillot et Dorseuil, ces derniers, également ex-employés de l'Arast, qui animaient la formation interrompue, n'ont pu répondre aux questions des ex-salariés en colère. “Le Conseil général avait dit qu'il reprendrait tous les travailleurs sociaux de l'Arast dans la nouvelle structure”.
“Aujourd'hui, il y a 1.200 aides à domicile, TISF et éducateurs qui sont à la rue, et la plupart est sans revenu ou indemnité depuis la fin du mois de novembre, et qu'est-ce que fait le Département, il forme de nouvelles aides à domicile”. Les stagiaires en question ont été invités à partir, et ce dès l'arrivée des manifestants.
La colère est double dans le rang des protestataires. “Non seulement, le Conseil général ne veut plus de nous, mais en plus, il ne répond pas à la demande d'informations de l'AGS, ce qui permettrait d'indemniser les ex-employés qui n'ont aucune solution pour retrouver un emploi”. Il faut savoir que le Fonds de garantie réclame au Département la liste des ex-salariés de l'Arast qui ne seront pas repris dans le GIP - SAP.
Nassimah Dindar avait répondu, lors de la signature du premier contrat d'embauche au GIP, que ce problème ne concernait plus le Conseil général.

Dialogue de sourds entre les manifestants qui exigent des explications, parfois de façon virulente, et les cadres du Conseil général et du GIP qui font la sourde oreille