
Notre interlocuteur ne mâche pas ses mots. “Les manifestants demandent la suppression de leurs charges sociales et fiscales, 50 % pour 2008 et 100 % pour 2009. C’est tant mieux pour eux s’ils obtiennent gain de cause. Mais, pour tous ceux qui sont à jour de ces charges, à quoi ils ont droit ?”
“A quoi ont droit ceux qui ont payé leurs cotisations au lieu de mener grand train de vie : voyages, belles maisons et voitures rutilantes…” Le chef d’entreprise parle avant tout des gérants de station-service qui sont soumis à des règles drastiques dans la gestion de leur structure, et qui n’ont pas droit à l’erreur ?.
“Tout est règlementé, tout est surveillé par notre enseigne. Aujourd’hui, on nous demande de prendre les chèques parce que notre chiffre d’affaire a baissé. Et regardez à quoi on s’expose”, dit-il en montrant deux chèques revenus non payé.
“Ça commence à bien faire, à chaque fois qu’il y a un problème, ce sont les stations-services qui sont les premières victimes de la colère des autres professionnels. Les transporteurs bouchent la route, au bout de cinq jours, nous sommes obligés de fermer et de mettre notre personnel en chômage technique”.
Les terrassiers et les entreprises du BTP sont en manque d’activité, ils ont du mal à payer leurs charges, aujourd’hui, on bloque la SRPP. Si ça dure, on devra fermer encore une fois. Mais qui se soucie de nos problèmes ? Qui va nous aider à réaliser notre chiffre d’affaire, pour éviter que l’on se retrouve à la rue ?”
“Ça commence à faire beaucoup pour une seule profession, vous ne trouvez pas ?”
“A quoi ont droit ceux qui ont payé leurs cotisations au lieu de mener grand train de vie : voyages, belles maisons et voitures rutilantes…” Le chef d’entreprise parle avant tout des gérants de station-service qui sont soumis à des règles drastiques dans la gestion de leur structure, et qui n’ont pas droit à l’erreur ?.
“Tout est règlementé, tout est surveillé par notre enseigne. Aujourd’hui, on nous demande de prendre les chèques parce que notre chiffre d’affaire a baissé. Et regardez à quoi on s’expose”, dit-il en montrant deux chèques revenus non payé.
“Ça commence à bien faire, à chaque fois qu’il y a un problème, ce sont les stations-services qui sont les premières victimes de la colère des autres professionnels. Les transporteurs bouchent la route, au bout de cinq jours, nous sommes obligés de fermer et de mettre notre personnel en chômage technique”.
Les terrassiers et les entreprises du BTP sont en manque d’activité, ils ont du mal à payer leurs charges, aujourd’hui, on bloque la SRPP. Si ça dure, on devra fermer encore une fois. Mais qui se soucie de nos problèmes ? Qui va nous aider à réaliser notre chiffre d’affaire, pour éviter que l’on se retrouve à la rue ?”
“Ça commence à faire beaucoup pour une seule profession, vous ne trouvez pas ?”