L’Assemblée nationale a voté ce vendredi l’extension de 3 à 11 le nombre de vaccins obligatoires pour les jeunes enfants qui naîtront à partir du 1er janvier 2018.
Ces onze vaccins (coqueluche, rougeole-oreillons-rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae, pneumocoque, méningocoque C, en plus de la diphtérie, du tétanos et la poliomyélite) seront indispensables à l’enfant pour être admis en collectivité (crèche, école…), ainsi que le prévoit l’article du projet de budget de la Sécurité sociale. Un article qui a été adopté en première lecture par 63 voix contre 3, sous les applaudissements de la majorité de la République En Marche.
Agnès Buzyn avait défendu le principe de la vaccination, « médicament qui a sauvé le plus de vies au monde ». Or, depuis vingt ans selon elle, « nous avons baissé la garde » et « oublié ce qu’étaient ces maladies » qui ressurgissent, telle la rougeole qui a fait « une dizaine de morts ces quatre dernières années », a-t-elle défendu sa mesure.
La quasi-totalité des élus de la droite, les socialistes et les Constructifs ont approuvé l'extension de l'obligation vaccinale.
Pour leur part, les communistes et les Insoumis de Jean-Luc Mélenchon se sont interrogés sur cette "précipitation" du gouvernement et ont prôné un "pôle public de production des vaccins" pour contrer l’appétit des laboratoires pharmaceutiques privés.
Ces onze vaccins (coqueluche, rougeole-oreillons-rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae, pneumocoque, méningocoque C, en plus de la diphtérie, du tétanos et la poliomyélite) seront indispensables à l’enfant pour être admis en collectivité (crèche, école…), ainsi que le prévoit l’article du projet de budget de la Sécurité sociale. Un article qui a été adopté en première lecture par 63 voix contre 3, sous les applaudissements de la majorité de la République En Marche.
Agnès Buzyn avait défendu le principe de la vaccination, « médicament qui a sauvé le plus de vies au monde ». Or, depuis vingt ans selon elle, « nous avons baissé la garde » et « oublié ce qu’étaient ces maladies » qui ressurgissent, telle la rougeole qui a fait « une dizaine de morts ces quatre dernières années », a-t-elle défendu sa mesure.
La quasi-totalité des élus de la droite, les socialistes et les Constructifs ont approuvé l'extension de l'obligation vaccinale.
Pour leur part, les communistes et les Insoumis de Jean-Luc Mélenchon se sont interrogés sur cette "précipitation" du gouvernement et ont prôné un "pôle public de production des vaccins" pour contrer l’appétit des laboratoires pharmaceutiques privés.