
Les américains commémorent aujourd'hui les attentats du 11 septembre 2001 à New York. Quinze ans après, quatre victimes sur dix n'ont toujours pas été identifiées par les médecins légistes.
Les incendies ont continué plus de trois mois après l’attaque, rendant impossible la reconnaissance ADN d’une grande partie des 22.000 restes humains retrouvés sur les lieux du drame. La chaleur intense, plus de 1000 degrés Celsius, et l’effondrement de la structure avaient trop détérioré les restes humains pour qu’ils puissent être identifiés formellement par la science.
Pour les proches de victimes, familles et amis, c’est une épreuve de plus. Sans sépultures, elles peinent à faire leur deuil. Officiellement, ces victimes sont des « disparus ».
Les recherches se poursuivent malgré les difficultés. « Entre 2006 et 2011, 32 personnes ont ainsi pu être reconnues grâce à de nouvelles méthodes scientifiques » souligne le Parisien. La dernière identification date de mars 2015, il y a près de 18 mois. Il s’agissait de Matthew David Yarnell. Il avait 26 ans et travaillait au 97ème étage de la tour sud.
Seule alternative pour le recueillement des proches de victimes non identifiées, un lieu de méditation a été aménagé dans le sous-sol du musée du 11 septembre. 7.230 restes y ont été transférés.
Les incendies ont continué plus de trois mois après l’attaque, rendant impossible la reconnaissance ADN d’une grande partie des 22.000 restes humains retrouvés sur les lieux du drame. La chaleur intense, plus de 1000 degrés Celsius, et l’effondrement de la structure avaient trop détérioré les restes humains pour qu’ils puissent être identifiés formellement par la science.
Pour les proches de victimes, familles et amis, c’est une épreuve de plus. Sans sépultures, elles peinent à faire leur deuil. Officiellement, ces victimes sont des « disparus ».
Les recherches se poursuivent malgré les difficultés. « Entre 2006 et 2011, 32 personnes ont ainsi pu être reconnues grâce à de nouvelles méthodes scientifiques » souligne le Parisien. La dernière identification date de mars 2015, il y a près de 18 mois. Il s’agissait de Matthew David Yarnell. Il avait 26 ans et travaillait au 97ème étage de la tour sud.
Seule alternative pour le recueillement des proches de victimes non identifiées, un lieu de méditation a été aménagé dans le sous-sol du musée du 11 septembre. 7.230 restes y ont été transférés.