La société a assuré que les employés licenciés recevraient 16 semaines de salaire de base et deux semaines supplémentaires de salaire pour chaque année de service et que leur assurance santé serait couverte pendant 6 mois.
Cette réduction drastique des effectifs s’inscrit dans un contexte de départs massifs dans le secteur de la technologie. À la Silicon Valley, Stripe et Lyft ont déjà fait part de licenciements de grande ampleur tandis qu’Amazon a gelé les recrutements dans ses bureaux. Twitter, pour sa part, a renvoyé environ la moitié de ses 7.500 salariés.
L’entreprise a fait état de performances financières décevantes avec un net recul de son chiffre d’affaires et de ses profits. La baisse de l’activité des utilisateurs sur les différentes plateformes a aussi été pointée du doigt.