
Photo d'archive
Depuis ce matin, environ 300 ex-salariés de l'Arast sont présents devant le Conseil général. Pour assurer la sécurité des manifestants, la police a bloqué l'accès au Palais de la Source.
A 10 heures, l'exaspération prend le dessus sur la patience... Une dizaine d'ex-salariés a sauté la grille du Département pour se faufiler au sein des locaux. Les autres suivent et enjambent actuellement le portail.
Les revendications sont les mêmes qu'aux journées d'action précédentes : "Nous n'avons rien touché depuis la fin du mois de novembre. Nous demandons nos indemnités de licenciement" s'exclame une ex-salariée.
La porte-parole, Valérie Bénard-Pérez, a annoncé qu'une audience allait être demandée auprès du Préfet, Pierre-Henry Maccioni, afin qu'il intervienne auprès des banques car les ex-salariés sont nombreux à être en difficultés financières. "Le Préfet doit entre dans le jeu et demander l'indulgence du Trésor Public et des banques", a-t-elle déclaré.
Les ex-salariés espèrent parler avec Jean-Claude Fidji, chargé du social au Département, pour débloquer des aides d'urgence, puis ils se rendront devant l'AGS (Garantie des salaires).
A 10h45, les ex-salariés ont réussi à s'introduire à dans les étages, les agents de sécurité n'ayant pas pu les retenir sous le hall. Désormais, une porte vitrée les sépare des bureaux. L'ambiance est très agitée, cris et sifflets rythment le mouvement.
A 10 heures, l'exaspération prend le dessus sur la patience... Une dizaine d'ex-salariés a sauté la grille du Département pour se faufiler au sein des locaux. Les autres suivent et enjambent actuellement le portail.
Les revendications sont les mêmes qu'aux journées d'action précédentes : "Nous n'avons rien touché depuis la fin du mois de novembre. Nous demandons nos indemnités de licenciement" s'exclame une ex-salariée.
La porte-parole, Valérie Bénard-Pérez, a annoncé qu'une audience allait être demandée auprès du Préfet, Pierre-Henry Maccioni, afin qu'il intervienne auprès des banques car les ex-salariés sont nombreux à être en difficultés financières. "Le Préfet doit entre dans le jeu et demander l'indulgence du Trésor Public et des banques", a-t-elle déclaré.
Les ex-salariés espèrent parler avec Jean-Claude Fidji, chargé du social au Département, pour débloquer des aides d'urgence, puis ils se rendront devant l'AGS (Garantie des salaires).
A 10h45, les ex-salariés ont réussi à s'introduire à dans les étages, les agents de sécurité n'ayant pas pu les retenir sous le hall. Désormais, une porte vitrée les sépare des bureaux. L'ambiance est très agitée, cris et sifflets rythment le mouvement.