Après avoir déposé un préavis de grève pour cette journée du jeudi 18 juillet, les agents du secteur social de la Caisse Générale de Sécurité Sociale étaient mobilisés depuis 10h ce matin. Devant les locaux de la CGSS, les manifestants étaient une cinquantaine à avoir répondu à l’appel des syndicats CFDT-SUD.
Les représentants syndicaux ont pu rencontrer la direction, mais le directeur étant absent aucune décision n'a pour l'instant été prise.
"La direction est à l'écoute, maintenant on est dans l'attente des résultats. C'était une réunion d'approche qui va nous permettre de faire une remise à plat de la situation." indique Dany Ramaye, représentant syndical CFDT-SUD.
à l'origine de ce conflit, un manque d'effectif et de moyens au sein du service social de la CGSS : " Il y a un problème de management et de recrutements qui mettent la pression sur le personnel qui est déjà débordé. Forcement ça crée des tensions."
Selon le syndicaliste, les conditions de travail au sein de ce service se sont détériorée sous l'ancienne direction, qui aurait préféré recruter de nombreux cadres, tout en réduisant le nombre d'agents.
"Le service social est le service le plus proche de la population la plus précaire, il est énormément sollicité. Il faut donc avoir une réponse à la hauteur. S'il n'y a pas de réponse, la population va le ressentir, elle le ressent déjà. "
En attendant des mesures plus favorables de la part de la nouvelle direction, les agents ont décidé de ne pas poursuivre la grève.
Les représentants syndicaux ont pu rencontrer la direction, mais le directeur étant absent aucune décision n'a pour l'instant été prise.
"La direction est à l'écoute, maintenant on est dans l'attente des résultats. C'était une réunion d'approche qui va nous permettre de faire une remise à plat de la situation." indique Dany Ramaye, représentant syndical CFDT-SUD.
à l'origine de ce conflit, un manque d'effectif et de moyens au sein du service social de la CGSS : " Il y a un problème de management et de recrutements qui mettent la pression sur le personnel qui est déjà débordé. Forcement ça crée des tensions."
Selon le syndicaliste, les conditions de travail au sein de ce service se sont détériorée sous l'ancienne direction, qui aurait préféré recruter de nombreux cadres, tout en réduisant le nombre d'agents.
"Le service social est le service le plus proche de la population la plus précaire, il est énormément sollicité. Il faut donc avoir une réponse à la hauteur. S'il n'y a pas de réponse, la population va le ressentir, elle le ressent déjà. "
En attendant des mesures plus favorables de la part de la nouvelle direction, les agents ont décidé de ne pas poursuivre la grève.