Samedi soir, le juge des libertés et de la détention avait décidé de maintenir les 68 migrants en zone d'attente pour une durée supplémentaire de 8 jours.
A l'issue du délibéré, les 10 avocats représentant les Sri-lankais avaient annoncé leur intention de faire appel de cette décision qui, rappelons-le, n'est pas suspensive. Depuis hier, la cour d'appel examine les 61 dossiers présentés, les mineurs étant rattachés aux parents.
La cour d'appel vient de statuer sur le recours estimant, tout comme le juge des libertés et de la détention, que la procédure a été respectée et prononce le maintien en zone d'attente.
A l'issue du délibéré, les 10 avocats représentant les Sri-lankais avaient annoncé leur intention de faire appel de cette décision qui, rappelons-le, n'est pas suspensive. Depuis hier, la cour d'appel examine les 61 dossiers présentés, les mineurs étant rattachés aux parents.
La cour d'appel vient de statuer sur le recours estimant, tout comme le juge des libertés et de la détention, que la procédure a été respectée et prononce le maintien en zone d'attente.