L'interprofession de la canne, via le Comité paritaire de la canne et du sucre (CPCS), avait rendez-vous ce vendredi après-midi pour faire le point avec le préfet sur la campagne sucrière, déjà considérée comme l'une des pires jamais enregistrée.
Une rencontre avec le préfet Amaury de Saint-Quentin qui avait pour objectif de concrétiser les différentes réunions mises en place pour tenter de relancer la production, mais aussi de répondre à l'urgence financière dans laquelle les planteurs se trouvent.
Cet après-midi, au cours d'une réunion qui aura tout de même duré trois heures, les planteurs ont notamment poussé l'idée d'un allègement des charges concernant leur activité, ainsi que le report des échéances essentiellement", comme le résume en vidéo Frédéric Vienne, le président de la FDSEA.
Une production de sucre parmi les plus faibles des 50 dernières années
Le CPCS avait déjà rencontré les différents partenaires de la filière canne-sucre comme le Crédit agricole, le Conseil départemental et l'Etat. Ce vendredi, ils sont ressortis avec d'autres promesses : la mobilisation du fonds de secours, une aide du Département et du Crédit agricole, "mais à quelle hauteur on sait pas", avouent les professionnels pour l'instant, ainsi que des mesures exceptionnelles aux agriculteurs pour faciliter le paiement des impôts et les charges de sécurité sociale. Dernier point acté en préfecture concerne l'annulation des pénalités vis-à-vis des impôts et de la sécurité sociale.
Un prochain point sera fait le 15 octobre et selon le versement des reliquats, la CPCS prendra une décision.
Pour rappel, la dernière saison cyclonique, marquée par le passage de trois phénomènes météorologiques de forte ampleur, a durement impacté la filière canne-sucre, qui est confrontée à un tonnage de canne et de production de sucre parmi les plus faibles des 50 dernières années.
Une rencontre avec le préfet Amaury de Saint-Quentin qui avait pour objectif de concrétiser les différentes réunions mises en place pour tenter de relancer la production, mais aussi de répondre à l'urgence financière dans laquelle les planteurs se trouvent.
Cet après-midi, au cours d'une réunion qui aura tout de même duré trois heures, les planteurs ont notamment poussé l'idée d'un allègement des charges concernant leur activité, ainsi que le report des échéances essentiellement", comme le résume en vidéo Frédéric Vienne, le président de la FDSEA.
Une production de sucre parmi les plus faibles des 50 dernières années
Le CPCS avait déjà rencontré les différents partenaires de la filière canne-sucre comme le Crédit agricole, le Conseil départemental et l'Etat. Ce vendredi, ils sont ressortis avec d'autres promesses : la mobilisation du fonds de secours, une aide du Département et du Crédit agricole, "mais à quelle hauteur on sait pas", avouent les professionnels pour l'instant, ainsi que des mesures exceptionnelles aux agriculteurs pour faciliter le paiement des impôts et les charges de sécurité sociale. Dernier point acté en préfecture concerne l'annulation des pénalités vis-à-vis des impôts et de la sécurité sociale.
Un prochain point sera fait le 15 octobre et selon le versement des reliquats, la CPCS prendra une décision.
Pour rappel, la dernière saison cyclonique, marquée par le passage de trois phénomènes météorologiques de forte ampleur, a durement impacté la filière canne-sucre, qui est confrontée à un tonnage de canne et de production de sucre parmi les plus faibles des 50 dernières années.