"C’est du n’importe quoi, on passe dans autre chose qu’une république quand on en est à ce niveau-là", explique le journaliste en réponse aux plaintes qui devraient être déposées à son encontre.
Pour Franck Cellier, le président de Région veut envoyer un message fort à la presse locale : "Ne faites pas d’investigations sur moi, sinon je sors l’artillerie lourde".
Pour justifier sa décision, Didier Robert a évoqué lors d’une conférence de presse, les nombreux commentaires des internautes qui font suite à la publication de l’enquête. Selon lui, beaucoup appellent à la violence, voire menacent de mort l’élu et sa famille.
"Je ne m’en sens absolument pas responsable, j’ai fait simplement mon travail de journaliste", se défend Franck Cellier. "On peut lui retourner le compliment […] il ne serait pas étonnant que je sois pris à partie, que les journalistes du Quotidien soient pris à partie, à cause des propos complètement outranciers du président de région".
Pour Franck Cellier, le président de Région veut envoyer un message fort à la presse locale : "Ne faites pas d’investigations sur moi, sinon je sors l’artillerie lourde".
Pour justifier sa décision, Didier Robert a évoqué lors d’une conférence de presse, les nombreux commentaires des internautes qui font suite à la publication de l’enquête. Selon lui, beaucoup appellent à la violence, voire menacent de mort l’élu et sa famille.
"Je ne m’en sens absolument pas responsable, j’ai fait simplement mon travail de journaliste", se défend Franck Cellier. "On peut lui retourner le compliment […] il ne serait pas étonnant que je sois pris à partie, que les journalistes du Quotidien soient pris à partie, à cause des propos complètement outranciers du président de région".