L'information fait la une du Journal de l'île de ce jour. Le média rapporte en effet que la vente des parts de l'aéroport Roland-Garros "semble s'accélérer depuis quelques semaines". En effet, les collectivités présentes dans l'actionnariat se concertent pour racheter les parts de l'Etat, ceci afin d'éviter de voir un investisseur étranger mettre la main sur l'outil aéroportuaire.
"Une infrastructure de premier plan et stratégique pour La Réunion", martèle Didier Robert. Ce dernier souhaite, "lorsque le rachat des parts de l'État interviendra réellement", que la collectivité régionale et d'autres partenaires soient parties prenantes au débat.
Pour rappel, la Chambre de commerce et d'industrie de La Réunion (CCIR) est actionnaire à hauteur de 25%, la Région à 10% et la commune de Sainte-Marie à 5%, soit un total de 40% en actionnaires locaux.
Selon le président de la Chambre de commerce et d'industrie de La Réunion ce rachat des parts de l'Etat avoisinerait les "100 millions d'euros". "La loi NOTRE permet aujourd'hui le rachat des parts de l'État. La meilleure des choses serait que l'aéroport reste dans le giron public", et local de préférence, estime Ibrahim Patel. "Il faut que la Région, la CCIR et la mairie de Sainte-Marie arrivent à mettre autour d'une table d'autres intercommunalités locales comme la Cinor ou le TCO pour que, ensemble, on réfléchisse à comment racheter les parts de l'Etat".
"Une infrastructure de premier plan et stratégique pour La Réunion", martèle Didier Robert. Ce dernier souhaite, "lorsque le rachat des parts de l'État interviendra réellement", que la collectivité régionale et d'autres partenaires soient parties prenantes au débat.
Pour rappel, la Chambre de commerce et d'industrie de La Réunion (CCIR) est actionnaire à hauteur de 25%, la Région à 10% et la commune de Sainte-Marie à 5%, soit un total de 40% en actionnaires locaux.
Selon le président de la Chambre de commerce et d'industrie de La Réunion ce rachat des parts de l'Etat avoisinerait les "100 millions d'euros". "La loi NOTRE permet aujourd'hui le rachat des parts de l'État. La meilleure des choses serait que l'aéroport reste dans le giron public", et local de préférence, estime Ibrahim Patel. "Il faut que la Région, la CCIR et la mairie de Sainte-Marie arrivent à mettre autour d'une table d'autres intercommunalités locales comme la Cinor ou le TCO pour que, ensemble, on réfléchisse à comment racheter les parts de l'Etat".