"Cette année, j’aurai à payer environ 800 euros de taxe, ce qui est énorme dans la mesure où je viens de lancer mon commerce !"
Philippe Minatchy est exaspéré. Il vient tout juste d’ouvrir une agence de voyage à Sainte-Clotilde, et a misé sur deux enseignes de près de douze mètres carrés au total, pour s’assurer une visibilité sur l’avenue Leconte De Lisle. Comme plusieurs commerçants de Saint-Denis, lui aussi reçoit un courrier recommandé de la mairie dans lequel il apprend que les enseignes supérieures à sept mètres carrés seront désormais taxées. "Si j’avais su qu’il y allait avoir cette taxe je n’aurais pas fait des enseignes aussi grandes !"
Un coup dur de plus pour le centre-ville de Saint-Denis, qui a déjà du mal à rester attractif : loyers exorbitants, manque de parkings, etc …
"Je vois de plus en plus de commerces qui ferment [...] mais au lieu de soutenir les commerçants, cette taxe les enfonce encore plus !", explique le Président de l’Union des Commerçants Dionysiens, Sandiren Permale.
Cette taxe est facultative et rien n’oblige une commune à l’appliquer sur son territoire. D’après Sandiren Permale, seuls une cinquantaine de commerces, 10% environ, seraient concernés dans le centre-ville. L’association n’a donc pas l’intention pour l’instant d’entamer un mouvement de protestation.
Philippe Minatchy est exaspéré. Il vient tout juste d’ouvrir une agence de voyage à Sainte-Clotilde, et a misé sur deux enseignes de près de douze mètres carrés au total, pour s’assurer une visibilité sur l’avenue Leconte De Lisle. Comme plusieurs commerçants de Saint-Denis, lui aussi reçoit un courrier recommandé de la mairie dans lequel il apprend que les enseignes supérieures à sept mètres carrés seront désormais taxées. "Si j’avais su qu’il y allait avoir cette taxe je n’aurais pas fait des enseignes aussi grandes !"
Un coup dur de plus pour le centre-ville de Saint-Denis, qui a déjà du mal à rester attractif : loyers exorbitants, manque de parkings, etc …
"Je vois de plus en plus de commerces qui ferment [...] mais au lieu de soutenir les commerçants, cette taxe les enfonce encore plus !", explique le Président de l’Union des Commerçants Dionysiens, Sandiren Permale.
Cette taxe est facultative et rien n’oblige une commune à l’appliquer sur son territoire. D’après Sandiren Permale, seuls une cinquantaine de commerces, 10% environ, seraient concernés dans le centre-ville. L’association n’a donc pas l’intention pour l’instant d’entamer un mouvement de protestation.