Après avoir fait déclencher le Golden Buzzer par Hélène Segara aux auditions, The Revolutionary va tenter sa chance à la finale de La France a un incroyable talent. Elle a lieu ce mardi soir sur M6, heure métropolitaine et sera rediffusée localement demain soir.
The Revolutionary est un collectif de danseurs confirmés installé en Belgique. "La différence est que nous sommes tous des artistes différents et multi-disciplinaires, qui se sont mis au service d'une même cause, pour partager notre art", explique Ryan Valmont, encadrant de l'équipe. Ryan Valmont est un nom de scène, le vrai nom de ce Réunionnais d'origine est Alexandre Amouny.
Ils étaient 40 au départ, tous âges confondus, mais ils ont dû passer une audition pour être sélectionnés pour l'émission. "Avant de faire partie de la team compétition il faut avoir suivi au moins un an de formation qui consiste en un travail technique mais aussi très axé sur la recherche de son identité artistique et le développement personnel", ajoute Alexandre.
Participer est déjà une victoire
Ayant déjà participé à de nombreuses compétitions internationales dans le domaine de la danse Hip-Hop - ils ont d'ailleurs gagné le World of Dance Belgique et le Hip Hop Kingz en Hollande - "l'étape suivante était naturellement de se montrer à un public plus large", confie-t-il.
"Le Golden Buzzer aux auditions était un moment inoubliable qu'on considère déjà comme une victoire et une marque de reconnaissance de notre travail", confie Alexandre, pour qui remporter la finale ne serait que du bonus. Conscient que les autres participants sont très talentueux, il précise : "notre objectif est de montrer notre art et de faire passer un message d'espoir fort".
Alors que le trophée leur soit destiné ou non, "rien ne changera, l'esprit sera le même" explique Alexandre. Il ne cache pas cependant espérer que des portes à de nouveaux projets s'ouvrent devant eux... "Pour ma part j'aimerais pouvoir utiliser mon expérience pour contribuer à la communauté de danseurs Hip-Hop de La Réunion qui est déjà très active et bien représentée avec des gens comme Nicolas Médéa ou encore Loïc Perny", précise-t-il en ajoutant que "l'idée est aussi de montrer que notre île a du talent et n'a vraiment rien à envier au reste du monde. Je pense notamment à Soan ou à Tess, une chanteuse très talentueuse et éclectique".
La danse au coeur de son quotidien
Ingénieur de formation, le Réunionnais d'origine fait partie des plus expérimentés du collectif. En dehors de ses heures de travail quotidiennes, il donne également une dizaine d'heures de cours de Hip-Hop. Il vit donc également en quelque sorte de sa passion pour la danse. "Grâce à ça j'ai aussi beaucoup de contact et donc d'opportunités en tant que danseur pour des publicités, pour accompagner des chanteurs ou pour des événements", détaille-t-il.
Un emploi du temps bien chargé qui ne lui laisse que très peu de temps pour ses activités personnelles. Mais son entourage, majoritairement composé de danseurs ou d'artistes, lui permet d'allier vie professionnelle et vie personnelle.
Du Guillaume Saint-Paul à la Belgique, en passant par Oxford
Il a grandi au Guillaume Saint-Paul, où il est notamment passé par le lycée Evariste de Parny, à Plateau Caillou. Toute sa famille habite encore ici. Il essaie de revenir dès que l'occasion se présente, autrement dit tous les 3 ans en moyenne. Il sera notamment sur l'île pour les fêtes.
Après avoir eu son Baccalauréat, Alexandre est parti à Paris où il a notamment fait une école d'ingénieur. Il a ensuite été diplômé d'Oxford Brookes University en Information Technology. Face à une opportunité professionnelle, il a décidé de s'émanciper à Bruxelles. Il indique qu'il quittera probablement le pays d'ici fin 2020. Pour aller où, on ne sait pas encore...
The Revolutionary est un collectif de danseurs confirmés installé en Belgique. "La différence est que nous sommes tous des artistes différents et multi-disciplinaires, qui se sont mis au service d'une même cause, pour partager notre art", explique Ryan Valmont, encadrant de l'équipe. Ryan Valmont est un nom de scène, le vrai nom de ce Réunionnais d'origine est Alexandre Amouny.
Ils étaient 40 au départ, tous âges confondus, mais ils ont dû passer une audition pour être sélectionnés pour l'émission. "Avant de faire partie de la team compétition il faut avoir suivi au moins un an de formation qui consiste en un travail technique mais aussi très axé sur la recherche de son identité artistique et le développement personnel", ajoute Alexandre.
Participer est déjà une victoire
Ayant déjà participé à de nombreuses compétitions internationales dans le domaine de la danse Hip-Hop - ils ont d'ailleurs gagné le World of Dance Belgique et le Hip Hop Kingz en Hollande - "l'étape suivante était naturellement de se montrer à un public plus large", confie-t-il.
"Le Golden Buzzer aux auditions était un moment inoubliable qu'on considère déjà comme une victoire et une marque de reconnaissance de notre travail", confie Alexandre, pour qui remporter la finale ne serait que du bonus. Conscient que les autres participants sont très talentueux, il précise : "notre objectif est de montrer notre art et de faire passer un message d'espoir fort".
Alors que le trophée leur soit destiné ou non, "rien ne changera, l'esprit sera le même" explique Alexandre. Il ne cache pas cependant espérer que des portes à de nouveaux projets s'ouvrent devant eux... "Pour ma part j'aimerais pouvoir utiliser mon expérience pour contribuer à la communauté de danseurs Hip-Hop de La Réunion qui est déjà très active et bien représentée avec des gens comme Nicolas Médéa ou encore Loïc Perny", précise-t-il en ajoutant que "l'idée est aussi de montrer que notre île a du talent et n'a vraiment rien à envier au reste du monde. Je pense notamment à Soan ou à Tess, une chanteuse très talentueuse et éclectique".
La danse au coeur de son quotidien
Ingénieur de formation, le Réunionnais d'origine fait partie des plus expérimentés du collectif. En dehors de ses heures de travail quotidiennes, il donne également une dizaine d'heures de cours de Hip-Hop. Il vit donc également en quelque sorte de sa passion pour la danse. "Grâce à ça j'ai aussi beaucoup de contact et donc d'opportunités en tant que danseur pour des publicités, pour accompagner des chanteurs ou pour des événements", détaille-t-il.
Un emploi du temps bien chargé qui ne lui laisse que très peu de temps pour ses activités personnelles. Mais son entourage, majoritairement composé de danseurs ou d'artistes, lui permet d'allier vie professionnelle et vie personnelle.
Du Guillaume Saint-Paul à la Belgique, en passant par Oxford
Il a grandi au Guillaume Saint-Paul, où il est notamment passé par le lycée Evariste de Parny, à Plateau Caillou. Toute sa famille habite encore ici. Il essaie de revenir dès que l'occasion se présente, autrement dit tous les 3 ans en moyenne. Il sera notamment sur l'île pour les fêtes.
Après avoir eu son Baccalauréat, Alexandre est parti à Paris où il a notamment fait une école d'ingénieur. Il a ensuite été diplômé d'Oxford Brookes University en Information Technology. Face à une opportunité professionnelle, il a décidé de s'émanciper à Bruxelles. Il indique qu'il quittera probablement le pays d'ici fin 2020. Pour aller où, on ne sait pas encore...