Le début des travaux de construction des unités de traitement du gaz naturel liquéfié (GNL) au large du Mozambique vont débuter avant la fin de l'année. Le projet prévoit d'ici 2024 la création de deux lignes de liquéfaction terrestres d'une capacité de production annuelle avoisinant les 12,5 mégatonnes de GNL. Le docteur Pierre Galzot, que nous avons rencontré, participera lui à l'évacuation sanitaire des personnes travaillant sur ce méga-chantier.
Ces réserves de GNL dans cette région du canal du Mozambique, estimées à 500 milliards de m³, ont été découvertes il y a une dizaine d'années au large de la province du Cabo Delgado, au nord du pays. Les grands pétroliers qui se partageront le gâteau sont l'opérateur local ENH, l'américain Anadarko l'italien ENI. Mais suite au rachat en juin dernier d'Anadarko par Occidental Petroleum pour 38 milliards de dollars (soit 33,9 milliards d'euros), le géant français Total pourrait également entrer dans la danse pour exploiter les gisements mozambicains.
En effet, le rachat d'Anadarko était conditionné à la cession de ses actifs africains à Total pour 8,8 milliards d'euros. Un accord en ce sens avait été signé le 5 mai dernier entre Total et Occidental. Pour le pétrolier français, l'acquisition d'Anadarko, dont la finalisation devrait avoir lieu en 2020, lui permettrait de prendre part à hauteur de 26,5% dans ce projet de GNL.
Le docteur Pierre Galzot, président de AEMC (Associated Emergency Medical Centers) France, participera lui à la prise en charge médicale et de l'évacuation sanitaire de la dizaine de milliers de personnes sur le site. Sa société est spécialisée dans l'assistance médicale opérationnelle sur de grands sites industriels et de grands chantiers à l'étranger. "Notre cœur de métier pour faire simple, c'est de faire le SAMU sur les plateformes pétrolières. Nous avons deux composantes principales qui sont l'assistance médicale opérationnelle et la capacité d'évacuation sanitaire transcontinentale longue distance. On travaille aussi bien dans le domaine minier que dans le domaine des grands chantiers d'infrastructures et nous avons également une compétence dans le nucléaire puisque nous travaillons sur le site de Tchernobyl en Ukraine", explique le médecin.
Sa société, qui a accompagné Anadarko sur le site lors des opérations de forage et d'exploration pétrolière, sera également présente sur la phase de construction de toutes les installations gazières pour assister en cas de pépin les quelques 10 000 personnes qui travailleront sur ce chantier titanesque qui débutera "dans quelques semaines" :
Ces réserves de GNL dans cette région du canal du Mozambique, estimées à 500 milliards de m³, ont été découvertes il y a une dizaine d'années au large de la province du Cabo Delgado, au nord du pays. Les grands pétroliers qui se partageront le gâteau sont l'opérateur local ENH, l'américain Anadarko l'italien ENI. Mais suite au rachat en juin dernier d'Anadarko par Occidental Petroleum pour 38 milliards de dollars (soit 33,9 milliards d'euros), le géant français Total pourrait également entrer dans la danse pour exploiter les gisements mozambicains.
En effet, le rachat d'Anadarko était conditionné à la cession de ses actifs africains à Total pour 8,8 milliards d'euros. Un accord en ce sens avait été signé le 5 mai dernier entre Total et Occidental. Pour le pétrolier français, l'acquisition d'Anadarko, dont la finalisation devrait avoir lieu en 2020, lui permettrait de prendre part à hauteur de 26,5% dans ce projet de GNL.
Le docteur Pierre Galzot, président de AEMC (Associated Emergency Medical Centers) France, participera lui à la prise en charge médicale et de l'évacuation sanitaire de la dizaine de milliers de personnes sur le site. Sa société est spécialisée dans l'assistance médicale opérationnelle sur de grands sites industriels et de grands chantiers à l'étranger. "Notre cœur de métier pour faire simple, c'est de faire le SAMU sur les plateformes pétrolières. Nous avons deux composantes principales qui sont l'assistance médicale opérationnelle et la capacité d'évacuation sanitaire transcontinentale longue distance. On travaille aussi bien dans le domaine minier que dans le domaine des grands chantiers d'infrastructures et nous avons également une compétence dans le nucléaire puisque nous travaillons sur le site de Tchernobyl en Ukraine", explique le médecin.
Sa société, qui a accompagné Anadarko sur le site lors des opérations de forage et d'exploration pétrolière, sera également présente sur la phase de construction de toutes les installations gazières pour assister en cas de pépin les quelques 10 000 personnes qui travailleront sur ce chantier titanesque qui débutera "dans quelques semaines" :