La journée a été mouvementée au commissariat de Saint-André. La raison : la présence de gilets jaunes venus soutenir l’un des leurs. Le contestataire contre la vie chère a été interpellé ce lundi matin à l’endroit du barrage érigé sur la quatre voies de Saint-André, au désormais très célèbre lieu-dit de la Cocoteraie.
C’est là ce lundi que plusieurs gilets jaunes ont envahi l’axe rapide pour y bloquer la circulation. Contrairement au mois de novembre dernier, les forces de l’ordre interviennent désormais immédiatement et c’est au cours du rétablissement des voies que le manifestant a été interpellé, perdant une savate au passage… (voir la vidéo)
Entendu depuis le milieu de matinée, Fabrice a été libéré de sa garde à vue à 16H. A sa sortie, ses camarades de lutte ont lancé des "nou tien bo nou large pa" en guise de ralliement à une cause qu’ils souhaitent le plus large possible.
Fabrice a insisté dans son discours sur le fait qu’il espérait une plus grande mobilisation des Réunionnais. Au milieu des autres manifestants, sa sortie de garde à vue s’est donc logiquement transformée en tribune politique, d’autant que le manifestant a tout le loisir de continuer son action militante d’ici quelques mois.
Il n'est convoqué devant le tribunal de Champ-Fleuri que le 10 mai.
Charlotte Molina sur place
C’est là ce lundi que plusieurs gilets jaunes ont envahi l’axe rapide pour y bloquer la circulation. Contrairement au mois de novembre dernier, les forces de l’ordre interviennent désormais immédiatement et c’est au cours du rétablissement des voies que le manifestant a été interpellé, perdant une savate au passage… (voir la vidéo)
Entendu depuis le milieu de matinée, Fabrice a été libéré de sa garde à vue à 16H. A sa sortie, ses camarades de lutte ont lancé des "nou tien bo nou large pa" en guise de ralliement à une cause qu’ils souhaitent le plus large possible.
Fabrice a insisté dans son discours sur le fait qu’il espérait une plus grande mobilisation des Réunionnais. Au milieu des autres manifestants, sa sortie de garde à vue s’est donc logiquement transformée en tribune politique, d’autant que le manifestant a tout le loisir de continuer son action militante d’ici quelques mois.
Il n'est convoqué devant le tribunal de Champ-Fleuri que le 10 mai.
Charlotte Molina sur place