Ils sont arrivés en nombre pour décider ensemble de la suite à donner à leur mouvement. Ce dimanche après-midi, environ 200 gilets jaunes se sont rassemblés sur le parking d’une grande surface à St-Pierre. Ils sont venus de St-Louis, Le Port, du Tampon ou encore de Gillot mus par l’idée de poursuivre l’action sous des formes différentes mais "unis".
L’un des premiers à prendre la parole a été Didier Hoareau, très présent au moment du blocage de la SRPP et président de l’Unostra. "Les gens comprennent notre mouvement mais ne veulent pas être bloqués". L’objectif est donc "de se coordonner et s’unifier. On a compris que ça partait dans tous les sens". Pour Didier Hoareau, il faut "relâcher la pression sur la population pour attaquer les points stratégiques".
"On bloque les institutions", propose-t-il. Lundi, un rassemblement devrait être ainsi organisé devant la préfecture.
Plusieurs gilets jaunes ont ensuite pris la parole et exposer leurs problématiques.
L’objectif est également de structurer le mouvement qui se veut toujours apolitique et sans leader. "Les Réunionnais ont compris que nous sommes à un tournant important de notre histoire. Il faut se bouger et nous allons faire en sorte d’aller dans le même sens pour gagner ce combat".
Pour se faire, des groupes de travail vont se créer "pour contrôler que ce qui a été dit sera fait" mais aussi plus largement jeter les bases d’une "nouvelle solidarité locale" dans laquelle les compétences de chacun seront au service de tous, espèrent-ils.
L’un des premiers à prendre la parole a été Didier Hoareau, très présent au moment du blocage de la SRPP et président de l’Unostra. "Les gens comprennent notre mouvement mais ne veulent pas être bloqués". L’objectif est donc "de se coordonner et s’unifier. On a compris que ça partait dans tous les sens". Pour Didier Hoareau, il faut "relâcher la pression sur la population pour attaquer les points stratégiques".
"On bloque les institutions", propose-t-il. Lundi, un rassemblement devrait être ainsi organisé devant la préfecture.
Plusieurs gilets jaunes ont ensuite pris la parole et exposer leurs problématiques.
L’objectif est également de structurer le mouvement qui se veut toujours apolitique et sans leader. "Les Réunionnais ont compris que nous sommes à un tournant important de notre histoire. Il faut se bouger et nous allons faire en sorte d’aller dans le même sens pour gagner ce combat".
Pour se faire, des groupes de travail vont se créer "pour contrôler que ce qui a été dit sera fait" mais aussi plus largement jeter les bases d’une "nouvelle solidarité locale" dans laquelle les compétences de chacun seront au service de tous, espèrent-ils.