Le procès de Tariq Javed a débuté ce vendredi matin aux Assises. L'homme est accusé de tentative d'assassinat sur son ex-compagne, Julienne Poleya. Poignardée au visage, à l’oreille, à l’avant-bras et à la main, la mère de famille qui a réchappé à la mort souhaite aujourd'hui que "justice soit faite".
Elle porte encore les cicatrices des coups de couteau sur son visage et de la tentative d'égorgement. Julienne Poleya témoigne de l’horreur qu’elle a vécue le 1er avril 2017 lorsque son ex-conjoint l’agresse violemment avec une arme blanche, dans son appartement à Bellepierre en pleine journée. 21 jours d'hospitalisation s'en sont suivis. La victime avait déjà plusieurs fois porté plainte contre lui pour des faits de violences conjugales. Des plaintes, une ordonnance de protection et une condamnation pour menace de mort qui n’ont pas suffit à la protéger. "Je vais te tuer, tu vas subir le même sort que la femme du parking de Sainte-Marie, je suis Pakistanais, je vais te tuer", aurait-il menacé.
"J'ai toujours cette crainte et cette peur quand je sors, quand je vais travailler, confie la quadragénaire. Elle relate également les multiples plaintes déposées à l'encontre de son ex-compagnon, notamment pour menaces de mort. "La loi, de nos jours, tant qu'il n'y a pas de sang, ils n'en tiennent pas compte. J'aurais pu mourir. Heureusement il y avait mon voisin, ma mère et mes deux fils".
Selon les experts, si les voisins n'étaient pas intervenus et si elle n'avait pas habité à quelques mètres du CHU de Bellepierre, elle n'aurait pas survécu.
Elle porte encore les cicatrices des coups de couteau sur son visage et de la tentative d'égorgement. Julienne Poleya témoigne de l’horreur qu’elle a vécue le 1er avril 2017 lorsque son ex-conjoint l’agresse violemment avec une arme blanche, dans son appartement à Bellepierre en pleine journée. 21 jours d'hospitalisation s'en sont suivis. La victime avait déjà plusieurs fois porté plainte contre lui pour des faits de violences conjugales. Des plaintes, une ordonnance de protection et une condamnation pour menace de mort qui n’ont pas suffit à la protéger. "Je vais te tuer, tu vas subir le même sort que la femme du parking de Sainte-Marie, je suis Pakistanais, je vais te tuer", aurait-il menacé.
"J'ai toujours cette crainte et cette peur quand je sors, quand je vais travailler, confie la quadragénaire. Elle relate également les multiples plaintes déposées à l'encontre de son ex-compagnon, notamment pour menaces de mort. "La loi, de nos jours, tant qu'il n'y a pas de sang, ils n'en tiennent pas compte. J'aurais pu mourir. Heureusement il y avait mon voisin, ma mère et mes deux fils".
Selon les experts, si les voisins n'étaient pas intervenus et si elle n'avait pas habité à quelques mètres du CHU de Bellepierre, elle n'aurait pas survécu.