L'actuelle opposition sainte-marienne aura au moins une candidate pour les prochaines municipales. Entourée d'une bonne trentaine de militants, Céline Sitouze, ex-PS, a officialisé ce lundi sa candidature à la mairie de Sainte-Marie dans sa permanence située en centre-ville. Un "choix du coeur" pour l'enseignante de profession, dans l'opposition municipale depuis 12 ans, qui se lancera pour la première fois dans le grand bain des municipales.
Née et ayant grandi à Sainte-Marie, Céline Sitouze fait valoir son ancrage familial, politique et professionnel pour expliquer les raisons qui l'ont poussée à briguer la mairie, aux mains de la droite depuis 29 ans. "Cela fait 12 ans que je défends les Sainte-Mariens dans les rangs de l'opposition, mais aussi à la Cinor, où j'ai appris à connaître les enjeux liés à l'intercommunalité", lance Céline Sitouze.
Ancienne membre du Parti socialiste, l'élue d'opposition se présentera pour le prochain scrutin sans-étiquette, sans l'appui d'un appareil politique, et aura sûrement à faire avec son collègue de l'opposition, le socialiste Christian Annette. Pour rappel, elle avait annoncé en décembre 2018 sa rupture avec le parti à la rose. Elle avait donné les raisons de son départ du PS lors d'un entretien qu'elle nous avait accordé en début d'année. Si elle vole désormais de ses propres ailes, Céline Sitouze ne "renie pas son passé" de militante socialiste, ses années au sein de la fédération locale du PS lui ont permis "d'acquérir de l'expérience en politique".
Les axes de la campagne de Céline Sitouze ont été déterminés "au gré des rencontres avec la population", explique-t-elle.
Tout d'abord la sempiternelle question de l'emploi. "Nous avons la chance d'être une commune attractive. Nous nous efforcerons à ce que les entreprises qui viennent s'installer sur notre territoire soient les mieux accueillies possible, mais à une condition, que ces emplois soient réservés en priorité aux Sainte-Mariens", assure-t-elle.
Deuxième point, la famille. Céline Sitouze regrette que dans les politiques menées, l'accent soit mis sur une génération "face à une autre".
Enfin, la question de l'éducation est également une des autres priorités de l'élue d'opposition qui souhaite proposer un tarif préférentiel pour la cantine dans les écoles de la ville. "Sans oublier la vie dans les quartiers parce que c'est dans les quartiers que chacun vit et on se doit d'avoir des quartiers propres, sécurisés et agréables à vivre", ajoute-t-elle.
Des axes prioritaires qui seront agrémentés d'autres mesures au fil des rencontres avec la population, le tout dans une démarche de "co-construction avec les Sainte-Mariens".
En effet, Céline Sitouze souhaite à travers sa candidature, mobiliser ces derniers en réservant à leur attention un quart de sa liste, à partir de la 10e place "et donc en position éligible". "Nous avons programmé six consultations citoyennes où la population sera invitée à nous faire part de ses idées et de ses attentes (…) Nous sommes dans et par notre approche, une vraie alternative (…) Notre campagne sera placée sous le signe du changement et Sainte-Marie en a besoin", conclut Céline Sitouze.
Née et ayant grandi à Sainte-Marie, Céline Sitouze fait valoir son ancrage familial, politique et professionnel pour expliquer les raisons qui l'ont poussée à briguer la mairie, aux mains de la droite depuis 29 ans. "Cela fait 12 ans que je défends les Sainte-Mariens dans les rangs de l'opposition, mais aussi à la Cinor, où j'ai appris à connaître les enjeux liés à l'intercommunalité", lance Céline Sitouze.
Ancienne membre du Parti socialiste, l'élue d'opposition se présentera pour le prochain scrutin sans-étiquette, sans l'appui d'un appareil politique, et aura sûrement à faire avec son collègue de l'opposition, le socialiste Christian Annette. Pour rappel, elle avait annoncé en décembre 2018 sa rupture avec le parti à la rose. Elle avait donné les raisons de son départ du PS lors d'un entretien qu'elle nous avait accordé en début d'année. Si elle vole désormais de ses propres ailes, Céline Sitouze ne "renie pas son passé" de militante socialiste, ses années au sein de la fédération locale du PS lui ont permis "d'acquérir de l'expérience en politique".
Les axes de la campagne de Céline Sitouze ont été déterminés "au gré des rencontres avec la population", explique-t-elle.
Tout d'abord la sempiternelle question de l'emploi. "Nous avons la chance d'être une commune attractive. Nous nous efforcerons à ce que les entreprises qui viennent s'installer sur notre territoire soient les mieux accueillies possible, mais à une condition, que ces emplois soient réservés en priorité aux Sainte-Mariens", assure-t-elle.
Deuxième point, la famille. Céline Sitouze regrette que dans les politiques menées, l'accent soit mis sur une génération "face à une autre".
Enfin, la question de l'éducation est également une des autres priorités de l'élue d'opposition qui souhaite proposer un tarif préférentiel pour la cantine dans les écoles de la ville. "Sans oublier la vie dans les quartiers parce que c'est dans les quartiers que chacun vit et on se doit d'avoir des quartiers propres, sécurisés et agréables à vivre", ajoute-t-elle.
Des axes prioritaires qui seront agrémentés d'autres mesures au fil des rencontres avec la population, le tout dans une démarche de "co-construction avec les Sainte-Mariens".
En effet, Céline Sitouze souhaite à travers sa candidature, mobiliser ces derniers en réservant à leur attention un quart de sa liste, à partir de la 10e place "et donc en position éligible". "Nous avons programmé six consultations citoyennes où la population sera invitée à nous faire part de ses idées et de ses attentes (…) Nous sommes dans et par notre approche, une vraie alternative (…) Notre campagne sera placée sous le signe du changement et Sainte-Marie en a besoin", conclut Céline Sitouze.