Avant toute chose, la télémédecine ne prétend pas remplacer les pratiques médicinales de base. Mais c'est "une forme de pratique médicale à distance utilisant les technologies de l’information et de la communication". "On va rentrer dans une autre dimension", confie Claude Bronner, Président de l'Union Généraliste (FMF).
Elle sera mise en place à partir du 15 septembre et sera remboursée par l’Assurance Maladie et les Complémentaires de santé. La téléconsultation est tarifée comme les autres actes, avec tiers payant obligatoire pour les CMU, ACS, Accidents du travail, Maternité, ALD, urgences…"C'est-à-dire à La Réunion pour un généraliste à 29,50 euros", souligne Claude Bronner.
Elle permet de mettre en lien des professionnels de la santé et des patients, tout en répondant aux éventuels problèmes démographiques, d'épidémie ou de simple organisation. "Ça permet de faire des consultations sans déplacer le patient quand le médecin ne veut ou ne peut pas se déplacer", et inversement, confie Claude Bronner.
Elle sera mise en place à partir du 15 septembre et sera remboursée par l’Assurance Maladie et les Complémentaires de santé. La téléconsultation est tarifée comme les autres actes, avec tiers payant obligatoire pour les CMU, ACS, Accidents du travail, Maternité, ALD, urgences…"C'est-à-dire à La Réunion pour un généraliste à 29,50 euros", souligne Claude Bronner.
Elle permet de mettre en lien des professionnels de la santé et des patients, tout en répondant aux éventuels problèmes démographiques, d'épidémie ou de simple organisation. "Ça permet de faire des consultations sans déplacer le patient quand le médecin ne veut ou ne peut pas se déplacer", et inversement, confie Claude Bronner.
Dr. Claude Bronner nous explique qu'il existe trois types de télémédecine. Tout d'abord la consultation avec un patient, qui se connecte depuis son ordinateur, tablette ou smartphone. Le but est de créer un dialogue. Ce type de consultations permettra de renouveler plus facilement des ordonnances par exemple. Mais aucun examen clinique ne pourra être réalisé.
Mais il est également possible de réaliser des consultations avec une tierce personne comme un infirmier, qui pourra donc avoir à sa disposition un chariot ou une mallette avec les outils nécessaires pour examiner un patient. Un médecin pourra également réaliser une consultation de ce type dans ce cabinet pour éventuellement mettre en relation son patient avec un confrère expert dans un autre domaine.
Pour ça, il suffit que chacun ait accès à internet et à un système de visioconférence. Le médecin doit également posséder une connexion Cartes Vitale et CPS pour la facturation.
Malgré cette mise en place prochaine, grand nombre de médecins restent encore assez réticents. "Ils disent tous c'est l'avenir, mais ça me fait un peu peur", explique Claude Bronner. Ensuite l'organisation des soins peut également s'avérer être un problème. "Si chaque patient peut appeler avec son smartphone n'importe qui et que l'Assurance Maladie rembourse, ça va pas le faire", confie-t-il.
Mais il est également possible de réaliser des consultations avec une tierce personne comme un infirmier, qui pourra donc avoir à sa disposition un chariot ou une mallette avec les outils nécessaires pour examiner un patient. Un médecin pourra également réaliser une consultation de ce type dans ce cabinet pour éventuellement mettre en relation son patient avec un confrère expert dans un autre domaine.
Pour ça, il suffit que chacun ait accès à internet et à un système de visioconférence. Le médecin doit également posséder une connexion Cartes Vitale et CPS pour la facturation.
Malgré cette mise en place prochaine, grand nombre de médecins restent encore assez réticents. "Ils disent tous c'est l'avenir, mais ça me fait un peu peur", explique Claude Bronner. Ensuite l'organisation des soins peut également s'avérer être un problème. "Si chaque patient peut appeler avec son smartphone n'importe qui et que l'Assurance Maladie rembourse, ça va pas le faire", confie-t-il.