Alors que les 20 élèves de la classe de BTS DATR au lycée Cluny travaillent depuis plus de deux mois en étroite collaboration avec "la Ruche qui dit Oui", sur l'événement "le champ des surprises", certains ont pris conscience de l'importance de la production locale.
Ils admettent que cela dépend des convictions de chacun, des connaissances, ou encore des moyens. Youssouf El-Fayed, étudiant en 2e année, déclare qu'il lui ait difficile de consommer local. Vivant en immeuble, il n'a pas possibilité d'avoir ses propres plantations dans la cour de sa case. Mais il admet vouloir s'y mettre que selon lui, cela dépend aussi avant tout de la consommation des parents, car à la maison, c'est eux qui achètent .
Bien qu'il avoue acheter principalement dans les grandes surfaces, Youssouf confie que le projet lui a apporté des connaissances dans l'agriculture locale en elle-même. "C'est un peu dérangeant de savoir que juste à côté de chez moi il y a des agriculteurs qui cultivent les mêmes choses et peut-être même qu'ils sont meilleurs".
N'goudzo Haoulati, quant à elle, avait pour habitude de consommer local lorsqu'elle était à Mayotte. Des habitudes qu'elle a perdues en arrivant à La Réunion pour ses études. Grâce au projet et à la plateforme "la Ruche qui dit Oui", elle déclare "commencer petit à petit et après ça va arriver automatiquement". Elle commande environ 3 produits à chaque fois, principalement des fruits.
Selon elle, "c'est le fait de savoir ce que tu manges, d'où ça vient, parce que si tu ne connais pas ce que tu manges, peut-être au niveau santé c'est pas bien. Si on n'est pas en bonne santé, on ne peut pas faire nos projets (...) on peut pas aller plus loin si on n’est pas en bonne santé".
Ils admettent que cela dépend des convictions de chacun, des connaissances, ou encore des moyens. Youssouf El-Fayed, étudiant en 2e année, déclare qu'il lui ait difficile de consommer local. Vivant en immeuble, il n'a pas possibilité d'avoir ses propres plantations dans la cour de sa case. Mais il admet vouloir s'y mettre que selon lui, cela dépend aussi avant tout de la consommation des parents, car à la maison, c'est eux qui achètent .
Bien qu'il avoue acheter principalement dans les grandes surfaces, Youssouf confie que le projet lui a apporté des connaissances dans l'agriculture locale en elle-même. "C'est un peu dérangeant de savoir que juste à côté de chez moi il y a des agriculteurs qui cultivent les mêmes choses et peut-être même qu'ils sont meilleurs".
N'goudzo Haoulati, quant à elle, avait pour habitude de consommer local lorsqu'elle était à Mayotte. Des habitudes qu'elle a perdues en arrivant à La Réunion pour ses études. Grâce au projet et à la plateforme "la Ruche qui dit Oui", elle déclare "commencer petit à petit et après ça va arriver automatiquement". Elle commande environ 3 produits à chaque fois, principalement des fruits.
Selon elle, "c'est le fait de savoir ce que tu manges, d'où ça vient, parce que si tu ne connais pas ce que tu manges, peut-être au niveau santé c'est pas bien. Si on n'est pas en bonne santé, on ne peut pas faire nos projets (...) on peut pas aller plus loin si on n’est pas en bonne santé".