Quelques jours après son article affirmant que Nassimah Dindar se portera candidate aux municipales de Saint-Denis, Pierrot Dupuy reçoit Ibrahim Dindar, candidat déclaré sur le Chef-Lieu.
"Je suis en campagne depuis quasiment six mois. Nassimah, qui est ma compagne, a souhaité me soutenir et m’aider dans ce combat qui est un combat difficile et a donc accepté de s’afficher à mes côtés et d’être sur ma liste si besoin en était", affirme Ibrahim Dindar, indiquant avoir été surpris à la lecture de l'article : "J'ai trouvé ça un peu fort de café parce que je n’ai pas personnellement cette information et ce n’est pas la posture qu’elle me montre".
Toutefois, celui qui a lancé un sondage avoue ne pas écarter la possibilité de laisser sa place à la sénatrice. "Si en octobre je suis à 10% et Nassimah à 20%, j’ai intérêt à lui proposer de prendre ma place, mais toujours dans un assemblage, dans un attelage, dans un duo. Je prône l’efficacité", déclare-t-il, pointant une information incorrecte "au moment où elle est parue". "Si elle prend cette décision, c’est parce que ce sera une décision partagée sur laquelle j’aurais pesé".
Second tour : "Ouvert à n'importe quelle hypothèse"
Interrogé sur les raisons qui pousseraient Nassimah Dindar à se lancer dans une bataille municipale, le candidat glisse en outre : "Ce que je pense c’est qu’elle s’aperçoit que quand on est une élue nationale on n'a pas de pouvoir".
Quant à la possibilité d'une alliance avec Gilbert Annette au second tour, "il n’en est pas question à l’heure à laquelle je vous parle", indique-t-il, ajoutant toutefois "ne pas savoir de quoi sera fait demain".
S'il part "pour gagner", Ibrahim Dindar admet être ouvert à la discussion s'il arrive en 3ème ou 4ème position, à certaines conditions : "qu'il n'y ait pas eu d’incident de campagne, qu’il y ait un maximum de colistiers de ma liste et qu’on reprenne des éléments de programme que j’estime indispensable pour Saint-Denis". Et de confirmer : "Si ces trois conditions sont réunies je suis plutôt ouvert à n’importe quelle hypothèse."
"Je suis en campagne depuis quasiment six mois. Nassimah, qui est ma compagne, a souhaité me soutenir et m’aider dans ce combat qui est un combat difficile et a donc accepté de s’afficher à mes côtés et d’être sur ma liste si besoin en était", affirme Ibrahim Dindar, indiquant avoir été surpris à la lecture de l'article : "J'ai trouvé ça un peu fort de café parce que je n’ai pas personnellement cette information et ce n’est pas la posture qu’elle me montre".
Toutefois, celui qui a lancé un sondage avoue ne pas écarter la possibilité de laisser sa place à la sénatrice. "Si en octobre je suis à 10% et Nassimah à 20%, j’ai intérêt à lui proposer de prendre ma place, mais toujours dans un assemblage, dans un attelage, dans un duo. Je prône l’efficacité", déclare-t-il, pointant une information incorrecte "au moment où elle est parue". "Si elle prend cette décision, c’est parce que ce sera une décision partagée sur laquelle j’aurais pesé".
Second tour : "Ouvert à n'importe quelle hypothèse"
Interrogé sur les raisons qui pousseraient Nassimah Dindar à se lancer dans une bataille municipale, le candidat glisse en outre : "Ce que je pense c’est qu’elle s’aperçoit que quand on est une élue nationale on n'a pas de pouvoir".
Quant à la possibilité d'une alliance avec Gilbert Annette au second tour, "il n’en est pas question à l’heure à laquelle je vous parle", indique-t-il, ajoutant toutefois "ne pas savoir de quoi sera fait demain".
S'il part "pour gagner", Ibrahim Dindar admet être ouvert à la discussion s'il arrive en 3ème ou 4ème position, à certaines conditions : "qu'il n'y ait pas eu d’incident de campagne, qu’il y ait un maximum de colistiers de ma liste et qu’on reprenne des éléments de programme que j’estime indispensable pour Saint-Denis". Et de confirmer : "Si ces trois conditions sont réunies je suis plutôt ouvert à n’importe quelle hypothèse."