C’était le World Clean Up Day le week-end dernier. Pour ceux qui l’ignoreraient, il s’agit d’une manifestation où des bénévoles ramassent les déchets partout dans le monde pendant une journée.
A la Réunion, plusieurs centaines de bénévoles ont ramassé au total 17 tonnes de détritus sur plusieurs sites, notamment sur le littoral.
Des milliers de bouteilles de plastique, des cuisinières, des déblais de chantier, je vous en passe et des meilleures…
Au premier abord, l’opération est sympathique et dans un premier temps, je me suis mis à regretter qu’il n’y ait pas eu plus de volontaires pour participer à l’opération. A la limite, dans l’idéal, j’aurais rêvé que chaque Réunionnais mette la main à la pâte.
Et pourtant, j’ai été surpris, en discutant avec des personnes pourtant sensées, qu’elles me disent qu’elles n’ont pas participé. Volontairement.
La raison ? Cela aurait été, selon elles, encourager les macotes à continuer à jeter leurs ordures n’importe où.
« Si vous jetez et qu’il y a quelqu’un qui passe derrière pour ramasser, pourquoi voulez-vous qu’ils arrêtent ? »
J’avoue que l’argument m’a touché.
Mais alors quoi faire, leur ai-je demandé ?
Très simple, verbaliser fortement toutes les personnes qu’on surprend en train de jeter quelque chose. Et faire comme dans certains pays, fouiller les ordures à la recherche, d’une lettre, d’un courrier, avec le nom du fautif dessus. Et le trainer au tribunal. Avec de fortes amendes à la clé.
Et c’est vrai qu’il y a des pays dans lesquels ça marche : la Suisse, Singapour, pour ne citer que les plus connus.
Mais alors, pourquoi ne le fait-on pas à la Réunion ? Apparemment, c’est en cours. A la CINOR par exemple, on a créé une brigade de l’Environnement. A compter du mois de janvier, ses 6 agents assermentés par le procureur de la République auront pouvoir de verbaliser. Le montant de l’amende ? 1.500 € à monter…
Vivement que cet exemple soit suivi aux quatre coins de l’ile…
Combien on parie que les macotes seront beaucoup moins nombreux ? Enfin !
A la Réunion, plusieurs centaines de bénévoles ont ramassé au total 17 tonnes de détritus sur plusieurs sites, notamment sur le littoral.
Des milliers de bouteilles de plastique, des cuisinières, des déblais de chantier, je vous en passe et des meilleures…
Au premier abord, l’opération est sympathique et dans un premier temps, je me suis mis à regretter qu’il n’y ait pas eu plus de volontaires pour participer à l’opération. A la limite, dans l’idéal, j’aurais rêvé que chaque Réunionnais mette la main à la pâte.
Et pourtant, j’ai été surpris, en discutant avec des personnes pourtant sensées, qu’elles me disent qu’elles n’ont pas participé. Volontairement.
La raison ? Cela aurait été, selon elles, encourager les macotes à continuer à jeter leurs ordures n’importe où.
« Si vous jetez et qu’il y a quelqu’un qui passe derrière pour ramasser, pourquoi voulez-vous qu’ils arrêtent ? »
J’avoue que l’argument m’a touché.
Mais alors quoi faire, leur ai-je demandé ?
Très simple, verbaliser fortement toutes les personnes qu’on surprend en train de jeter quelque chose. Et faire comme dans certains pays, fouiller les ordures à la recherche, d’une lettre, d’un courrier, avec le nom du fautif dessus. Et le trainer au tribunal. Avec de fortes amendes à la clé.
Et c’est vrai qu’il y a des pays dans lesquels ça marche : la Suisse, Singapour, pour ne citer que les plus connus.
Mais alors, pourquoi ne le fait-on pas à la Réunion ? Apparemment, c’est en cours. A la CINOR par exemple, on a créé une brigade de l’Environnement. A compter du mois de janvier, ses 6 agents assermentés par le procureur de la République auront pouvoir de verbaliser. Le montant de l’amende ? 1.500 € à monter…
Vivement que cet exemple soit suivi aux quatre coins de l’ile…
Combien on parie que les macotes seront beaucoup moins nombreux ? Enfin !