L’actualité internationale inspire certains élus de la Pyramide inversée. En pleine séance d’examen du budget 2019 de la collectivité, l’intervention de Joé Bédier a stupéfait l’assemblée.
Les mots utilisés et le parallèle avec la situation algérienne ont en effet estomaqué plus d’un élu. En marge de la séance publique, le conseiller régional d’opposition a réitéré les mots employés quelques minutes plus tôt dans l’hémicycle.
"Je souhaite qu’en 2020, pour certaines communes, et à Saint-André notamment, qu’il y ait une jurisprudence Bouteflika", affirme-t-il, excédé de voir, comme en Algérie, les mêmes hommes politiques au pouvoir depuis des décennies. Joé Bédier illustre son propos par ce qu'il appelle le projet "pharaonique" porté par le maire et vice-président du Conseil régional Jean-Paul Virapoullé.
"Il faut à un moment être sérieux. On ne peut pas, avant chaque élection, sortir de grandes promesses. Je ne suis pas en politique depuis 50 ans comme monsieur Virapoullé. (…) Il est en politique depuis 1969 et il revient avec de grands projets (il fait allusion au projet de grand port à St-André, ndlr), cette fois-ci peut-être pour essayer de placer son fils. (…) ils ne savent même pas comment trouver les finances, sachant que l’étude de faisabilité n’est pas commencée", affirme le conseiller régional d'opposition.
Les mots utilisés et le parallèle avec la situation algérienne ont en effet estomaqué plus d’un élu. En marge de la séance publique, le conseiller régional d’opposition a réitéré les mots employés quelques minutes plus tôt dans l’hémicycle.
"Je souhaite qu’en 2020, pour certaines communes, et à Saint-André notamment, qu’il y ait une jurisprudence Bouteflika", affirme-t-il, excédé de voir, comme en Algérie, les mêmes hommes politiques au pouvoir depuis des décennies. Joé Bédier illustre son propos par ce qu'il appelle le projet "pharaonique" porté par le maire et vice-président du Conseil régional Jean-Paul Virapoullé.
"Il faut à un moment être sérieux. On ne peut pas, avant chaque élection, sortir de grandes promesses. Je ne suis pas en politique depuis 50 ans comme monsieur Virapoullé. (…) Il est en politique depuis 1969 et il revient avec de grands projets (il fait allusion au projet de grand port à St-André, ndlr), cette fois-ci peut-être pour essayer de placer son fils. (…) ils ne savent même pas comment trouver les finances, sachant que l’étude de faisabilité n’est pas commencée", affirme le conseiller régional d'opposition.
Joé Bédier interrogé par Samuel Irlepenne