Après avoir rencontré le Préfet de la Réunion hier pour évoquer les arrivées de demandeurs d'asiles sri-lankais sur notre île; le député France Insoumise est allé ce matin à la rencontre des 6 pêcheurs toujours placés en zone d'attente à Gillot.
"Ce qui est sûr, et on le sent, on l'entend, on le voit, il y a derrière tout ça une grande misère humaine", raconte Jean-Hugues Ratenon à la sortie de cet entretien, "ils ont tout vendu pour venir ici, pour fuir un système qui, d'après ce qu'ils disent, les persécute, et ne leur donne pas de perspectives d'avenir pour eux et leurs familles".
Selon le député, l'un des migrants cherche à rejoindre sa femme et ses enfants installés en Italie : "On voit bien que pour eux La Réunion c'est une plateforme pour repartir après vers l'Hexagone et vers les pays d'Europe pour retrouver leurs familles."
Mais après un peu moins d'une heure d'entretien avec les Sri-Lankais, Jean-Hugues Ratenon émet de curieuses suppositions : "Honnêtement, je suis persuadé qu'ils ne disent pas tout", affirme t-il, sans préciser comment il en arrive à ces conclusions, "ils n'étaient pas dans la misère sociale là bas, ils avaient quand même les moyens".
Cette rencontre conforte le député dans son souhait d'envoyer une délégation au Sri-Lanka pour mieux comprendre les raisons de ces départs.
Après avoir confié à la presse écrite hier que selon lui La Réunion n'a pas les moyens d'accueillir ces demandeurs d'asile, Jean-Hugues Ratenon explique pourtant qu' "il ne faut pas oublier que nous sommes tous des êtres humains, et nous vivons sur la planète Terre, la Terre appartient à tout le monde " .
"Ce qui est sûr, et on le sent, on l'entend, on le voit, il y a derrière tout ça une grande misère humaine", raconte Jean-Hugues Ratenon à la sortie de cet entretien, "ils ont tout vendu pour venir ici, pour fuir un système qui, d'après ce qu'ils disent, les persécute, et ne leur donne pas de perspectives d'avenir pour eux et leurs familles".
Selon le député, l'un des migrants cherche à rejoindre sa femme et ses enfants installés en Italie : "On voit bien que pour eux La Réunion c'est une plateforme pour repartir après vers l'Hexagone et vers les pays d'Europe pour retrouver leurs familles."
Mais après un peu moins d'une heure d'entretien avec les Sri-Lankais, Jean-Hugues Ratenon émet de curieuses suppositions : "Honnêtement, je suis persuadé qu'ils ne disent pas tout", affirme t-il, sans préciser comment il en arrive à ces conclusions, "ils n'étaient pas dans la misère sociale là bas, ils avaient quand même les moyens".
Cette rencontre conforte le député dans son souhait d'envoyer une délégation au Sri-Lanka pour mieux comprendre les raisons de ces départs.
Après avoir confié à la presse écrite hier que selon lui La Réunion n'a pas les moyens d'accueillir ces demandeurs d'asile, Jean-Hugues Ratenon explique pourtant qu' "il ne faut pas oublier que nous sommes tous des êtres humains, et nous vivons sur la planète Terre, la Terre appartient à tout le monde " .