L'aéroport Roland-Garros va entamer sa mue. Ce vendredi, le président du directoire de la société aéroportuaire, Guillaume Branlat, a fait un point sur les travaux de la nouvelle aérogare ouest bioclimatique, la première en milieu tropical et insulaire, qui sera dédiée uniquement aux arrivées. Une infrastructure attendue pour 2022 et qui va positionner Gillot "durablement comme pôle aéroportuaire d'excellence dans l'océan Indien" assure Guillaume Branlat.
Entre 2011 et 2015, plus de 120 millions d'euros d'investissements ont été réalisés pour la mise aux normes des pistes de l'aéroport, lui permettant "d'accueillir "tous types de porteurs", indique Guillaume Branlat. Malgré tout, la capacité de l'aéroport arrive aujourd'hui "à bout" explique le président de la société aéroportuaire, qui attend beaucoup "de cet outil indispensable".
Si la démolition de l'ancienne aérogare est déjà bien avancée, le chantier pour la construction de la future aérogare ouest, qui avoisine les 60 millions d'euros, devrait intervenir aux environs de la mi-2020. Cette première tranche des travaux prévoit notamment un aménagement de la jetée Est et la mise en place d'un système de tri bagages avec mise aux normes standard.
Entre 1 500 et 2 000 emplois directs et indirects soutenus à travers le chantier
La seconde phase de ces travaux prendra place ensuite et concernera l'actuelle aérogare, qui ne sera dédiée qu'aux départs. Les travaux, estimés entre 20 et 30 millions d'euros, devraient s'étirer entre 2022 et 2025. Outre les extensions de la salle d'embarquement et du hall, de nombreux aménagements intérieurs seront réalisés, mais aussi extérieurs au niveau de la jetée Ouest et des postes avions P1 et P2.
Des investissements qui n'auront aucun impact sur la taxe aéroport, "qui ne va pas augmenter", assure Guillaume Branlat. Mieux, actuellement de 14 euros par passager, cette taxe va connaître une légère baisse pour se chiffrer à 13,90 euros.
Selon les projections de la société aéroportuaire, la livraison des nouveaux ensembles devrait permettre à Roland-Garros d'accueillir à terme près de 3,5 millions de passagers à l'année.
Les entreprises seront consultées début octobre concernant les appels d'offres et le chantier aura des "retombées immédiates pour le territoire" indique la société aéroportuaire puisqu'il devrait permettre de soutenir entre 1 500 et 2 000 emplois directs et indirects pendant la durée des travaux.
Régis Labrousse sur place
Entre 2011 et 2015, plus de 120 millions d'euros d'investissements ont été réalisés pour la mise aux normes des pistes de l'aéroport, lui permettant "d'accueillir "tous types de porteurs", indique Guillaume Branlat. Malgré tout, la capacité de l'aéroport arrive aujourd'hui "à bout" explique le président de la société aéroportuaire, qui attend beaucoup "de cet outil indispensable".
Si la démolition de l'ancienne aérogare est déjà bien avancée, le chantier pour la construction de la future aérogare ouest, qui avoisine les 60 millions d'euros, devrait intervenir aux environs de la mi-2020. Cette première tranche des travaux prévoit notamment un aménagement de la jetée Est et la mise en place d'un système de tri bagages avec mise aux normes standard.
Entre 1 500 et 2 000 emplois directs et indirects soutenus à travers le chantier
La seconde phase de ces travaux prendra place ensuite et concernera l'actuelle aérogare, qui ne sera dédiée qu'aux départs. Les travaux, estimés entre 20 et 30 millions d'euros, devraient s'étirer entre 2022 et 2025. Outre les extensions de la salle d'embarquement et du hall, de nombreux aménagements intérieurs seront réalisés, mais aussi extérieurs au niveau de la jetée Ouest et des postes avions P1 et P2.
Des investissements qui n'auront aucun impact sur la taxe aéroport, "qui ne va pas augmenter", assure Guillaume Branlat. Mieux, actuellement de 14 euros par passager, cette taxe va connaître une légère baisse pour se chiffrer à 13,90 euros.
Selon les projections de la société aéroportuaire, la livraison des nouveaux ensembles devrait permettre à Roland-Garros d'accueillir à terme près de 3,5 millions de passagers à l'année.
Les entreprises seront consultées début octobre concernant les appels d'offres et le chantier aura des "retombées immédiates pour le territoire" indique la société aéroportuaire puisqu'il devrait permettre de soutenir entre 1 500 et 2 000 emplois directs et indirects pendant la durée des travaux.
Régis Labrousse sur place