Les images tournées par l’agence Line Press ont fait le tour des réseaux sociaux. Filmée le 1er mai à Paris, au coeur de la manifestation, la vidéo montre un groupe de CRS tentant de protéger les magasins du boulevard de l’Hôpital.
Mais à la 38ème seconde, une scène interpelle le parquet de Paris, qui décide de renvoyer le CRS devant le tribunal correctionnel ce jeudi : on y voit le policier prendre de l’élan puis jeter un pavé en direction des manifestants.
Mais à la 38ème seconde, une scène interpelle le parquet de Paris, qui décide de renvoyer le CRS devant le tribunal correctionnel ce jeudi : on y voit le policier prendre de l’élan puis jeter un pavé en direction des manifestants.
L’homme est poursuivi pour violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique n’ayant pas entraîné d’incapacité. Le pavé n’aurait touché personne et aucune plainte n’a été déposée.
Quelques minutes avant, un autre CRS avait été gravement blessé au visage par un pavé lancé par un manifestant, et avait dû être hospitalisé.
Quelques minutes avant, un autre CRS avait été gravement blessé au visage par un pavé lancé par un manifestant, et avait dû être hospitalisé.
Ce procès est le premier d’une longue série : un autre policier doit comparaitre début décembre pour avoir mis une gifle à un manifestant durant cette même manifestation du 1er mai à Paris.
Là aussi les images, filmées par Street News, ont fait le tour de la toile. On peut y voir les CRS enfermer des manifestants dans une cave à cigares. L’un des policiers s’exclame alors "qu’est-ce que t’as toi" avant de mettre une violente gifle à un homme, qui en perd ses lunettes de soleil.
72 autres procédures sont encore en cours d’analyse selon le parquet de Paris.
Là aussi les images, filmées par Street News, ont fait le tour de la toile. On peut y voir les CRS enfermer des manifestants dans une cave à cigares. L’un des policiers s’exclame alors "qu’est-ce que t’as toi" avant de mettre une violente gifle à un homme, qui en perd ses lunettes de soleil.
72 autres procédures sont encore en cours d’analyse selon le parquet de Paris.