Les salariés du GIHP (Groupement pour l'insertion des personnes handicapées physiques) tirent la sonnette d'alarme. Ils en ont marre, "c'est terminé ils ne supportent plus être traités comme ça, être harcelés, être mis au placard,...", précise Clara Derfla, secrétaire générale Union Régionale 974.
Selon eux, cela fait déjà quelques années, que le président Eric Turpin et le directeur Fabrice Souprayenmestry auraient instauré un système abusif qui licencierait les gens sans motifs du jour au lendemain. "Depuis février, il y a au moins une vingtaine de licenciements", confie-t-elle. "Même les heures complémentaires ne sont pas payées", ajoute-t-elle.
"La zot i dit arret!". Les plus de 130 salariés restant demandent donc la réintégration des salariés licenciés abusivement, le paiement des heures et vont même jusqu'à demander le départ du directeur. "On ne peut pas être profiteur comme ça, jusqu'à quelle heure", revendique Clara Derfla.
L'inspection du travail a été alertée."Le directeur lè capable d'être directeur donc il touche son salaire, mais en plus il a une autre société à côté, où il loue encore son propre voiture au GIHP, i gagn partout li mais par contre à chaque fois il sera bon pour aller tirer sur les salariés, pas payé les heures et si zot y cri c'est la porte tout de suite, c'est fini", confie-t-elle.
Le préavis de grève est envoyé et les salariés sont déterminés. "Nou lé la jusqu'à qu'on gagn satisfaction, la grève est IN-DE-TER-MI-NEE", précise Clara Derfla. "Il na intérêt de réagir, s'il réagit pas, nous rest là, nou travaille avec des usagers dépendants, donc même les usagers na point de transports pour emmène à zot."
Selon eux, cela fait déjà quelques années, que le président Eric Turpin et le directeur Fabrice Souprayenmestry auraient instauré un système abusif qui licencierait les gens sans motifs du jour au lendemain. "Depuis février, il y a au moins une vingtaine de licenciements", confie-t-elle. "Même les heures complémentaires ne sont pas payées", ajoute-t-elle.
"La zot i dit arret!". Les plus de 130 salariés restant demandent donc la réintégration des salariés licenciés abusivement, le paiement des heures et vont même jusqu'à demander le départ du directeur. "On ne peut pas être profiteur comme ça, jusqu'à quelle heure", revendique Clara Derfla.
L'inspection du travail a été alertée."Le directeur lè capable d'être directeur donc il touche son salaire, mais en plus il a une autre société à côté, où il loue encore son propre voiture au GIHP, i gagn partout li mais par contre à chaque fois il sera bon pour aller tirer sur les salariés, pas payé les heures et si zot y cri c'est la porte tout de suite, c'est fini", confie-t-elle.
Le préavis de grève est envoyé et les salariés sont déterminés. "Nou lé la jusqu'à qu'on gagn satisfaction, la grève est IN-DE-TER-MI-NEE", précise Clara Derfla. "Il na intérêt de réagir, s'il réagit pas, nous rest là, nou travaille avec des usagers dépendants, donc même les usagers na point de transports pour emmène à zot."