La mobilisation des salariés de la Sodiparc s'éternise depuis une semaine. Alors que l'intersyndicale a mis sur le papier pas moins d’une vingtaines de revendications, elle échoue pour le moment à obtenir des décisions satisfaisantes.
La réponse la plus symbolique que les grévistes attendent est tout simplement le départ de leur directeur actuel.
Le mis en cause, Jean-Jacques Fung, a décidé de sortir de son droit de réserve pour mettre en doute la véritable raison de cette grève. Selon le directeur général délégué, la grève aurait débordé sur le "terrain politique".
"Aujourd’hui on voit bien que le terrain politique a été recherché par les différentes organisations syndicales qui portent ce mouvement supposé, qui avancent 22 revendications dont une dirigée contre ma personne", fustige le directeur.
"Il faut aller chercher les causes ailleurs"
"Je regrette la persistance avec laquelle les organisations syndicales, sous prétexte que j’étais présent, ont quitté la table des négociations. Je rappelle que les organisations syndicales n’ont pas le pouvoir de choisir la représentation de l’entreprise", insiste Jean-Jacques Fung qui, énigmatique, estime qu’"il faut aller chercher les causes ailleurs."
Ce midi, les syndicats étaient reçus en mairie, par le maire Gilbert Annette alors que le rendez-vous de la semaine dernière avec son 1er adjoint et président du conseil d'administration Jacques Lowinsky n'avait pas permis de sortie de crise.
La réponse la plus symbolique que les grévistes attendent est tout simplement le départ de leur directeur actuel.
Le mis en cause, Jean-Jacques Fung, a décidé de sortir de son droit de réserve pour mettre en doute la véritable raison de cette grève. Selon le directeur général délégué, la grève aurait débordé sur le "terrain politique".
"Aujourd’hui on voit bien que le terrain politique a été recherché par les différentes organisations syndicales qui portent ce mouvement supposé, qui avancent 22 revendications dont une dirigée contre ma personne", fustige le directeur.
"Il faut aller chercher les causes ailleurs"
"Je regrette la persistance avec laquelle les organisations syndicales, sous prétexte que j’étais présent, ont quitté la table des négociations. Je rappelle que les organisations syndicales n’ont pas le pouvoir de choisir la représentation de l’entreprise", insiste Jean-Jacques Fung qui, énigmatique, estime qu’"il faut aller chercher les causes ailleurs."
Ce midi, les syndicats étaient reçus en mairie, par le maire Gilbert Annette alors que le rendez-vous de la semaine dernière avec son 1er adjoint et président du conseil d'administration Jacques Lowinsky n'avait pas permis de sortie de crise.
▶️ Citalis : Le maire Gilbert Annette reçoit les grévistes
Un énième rendez-vous était donc donné ce lundi après-midi, cette fois au siège de la Sodiparc à Sainte-Clotilde. Rappelons que cette société d'économie mixte gère le réseau de bus Citalis, le réseau de transport urbain et interurbain de la CINOR par lequel elle est liée par un mandat de délégataire de service public.