Le téléphérique urbain Chaudron/Moufia/Bois-de-Nèfles entre dans sa phase concrète. Ce jeudi, Gérald Maillot, président de la Cinor, et Gisèle Rossat-Mignod, directrice du réseau de la Banque des territoires (Caisse des dépôts) ont signé un prêt de 10 millions d'euros pour la construction de ce transport urbain entre les quartiers du Chaudron et ceux de Moufia/Bois-de-Nèfles.
Outre la CDC, l'Agence française de développement (AFD) avait déjà accordé à l'agglomération un prêt à taux zéro de 10 millions d'euros pour financer ce téléphérique, d'un coût total de 50 millions d'euros et dont la construction est prévue à la fin du premier semestre 2019 pour une livraison en 2020. Un téléphérique qui comptera cinq stations, allant du Mail du Chaudron en passant par le campus du Moufia, la biblitohèque du même quartier, Bancoul et enfin le secteur de Bois-de-Nèfles.
Le tracé de 2,7 km sera parcouru en moins de 15 minutes par 46 cabines, pouvant accueillir jusqu'à 10 voyageurs et suffisamment grandes pour recevoir des personnes à mobilité réduite, des poussettes ou encore des vélos.
Le coût d'exploitation est estimé à 2,4 millions d'euros par an et plus de 6 000 voyageurs sont attendus quotidiennement. Sur une année, la Cinor prévoit environ 1,5 million de personnes transportées.
Outre la CDC, l'Agence française de développement (AFD) avait déjà accordé à l'agglomération un prêt à taux zéro de 10 millions d'euros pour financer ce téléphérique, d'un coût total de 50 millions d'euros et dont la construction est prévue à la fin du premier semestre 2019 pour une livraison en 2020. Un téléphérique qui comptera cinq stations, allant du Mail du Chaudron en passant par le campus du Moufia, la biblitohèque du même quartier, Bancoul et enfin le secteur de Bois-de-Nèfles.
Le tracé de 2,7 km sera parcouru en moins de 15 minutes par 46 cabines, pouvant accueillir jusqu'à 10 voyageurs et suffisamment grandes pour recevoir des personnes à mobilité réduite, des poussettes ou encore des vélos.
Le coût d'exploitation est estimé à 2,4 millions d'euros par an et plus de 6 000 voyageurs sont attendus quotidiennement. Sur une année, la Cinor prévoit environ 1,5 million de personnes transportées.