À l'occasion de la séance plénière qui s'est déroulée ce mercredi, le président du conseil départemental, Cyrille Melchior, est revenu sur la gestion de la boutique de l'antenne parisienne de la collectivité, sévèrement critiquée par la Chambre régionale des comptes. Le locataire du Palais de la Source - comme sa prédécesseure Nassimah Dindar lors de la séance - a reconnu que le dossier avait été mal ficelé.
Dans sa synthèse rendue publique hier, la Chambre régionale des comptes relève des "différends" qui ont entraîné la fermeture temporaire de la boutique de juillet à décembre 2018 puis à compter de mars 2019. "Malgré des marges doubles de celles du secteur marchand, elle accumule 1 M€ de déficit depuis 2016 en y intégrant des charges telles que le loyer des locaux commerciaux. Le caractère à la fois administratif et commercial de l’antenne de Paris a engendré des manquements par rapport à la réglementation", écrit la CRC.
"C'est vrai que le choix qui a été porté c'était de dire qu'on fait une antenne avec cette boutique sous un volet administratif. La Chambre dit non, qu'il faut travailler sous un angle commercial. Nous en prenons acte et allons travailler sur ce dossier, c'est ce que nous faisons", explique Cyrille Melchior.
Dans sa synthèse rendue publique hier, la Chambre régionale des comptes relève des "différends" qui ont entraîné la fermeture temporaire de la boutique de juillet à décembre 2018 puis à compter de mars 2019. "Malgré des marges doubles de celles du secteur marchand, elle accumule 1 M€ de déficit depuis 2016 en y intégrant des charges telles que le loyer des locaux commerciaux. Le caractère à la fois administratif et commercial de l’antenne de Paris a engendré des manquements par rapport à la réglementation", écrit la CRC.
"C'est vrai que le choix qui a été porté c'était de dire qu'on fait une antenne avec cette boutique sous un volet administratif. La Chambre dit non, qu'il faut travailler sous un angle commercial. Nous en prenons acte et allons travailler sur ce dossier, c'est ce que nous faisons", explique Cyrille Melchior.