" Il reste toutes les interrogations sur le mobile de ce crime : certains éléments laissent à penser qu’une personne se baladait dans le coin et tentait de pénétrer chez les gens par effraction en demandant des faveurs sexuelles. L’accusé aurait d’ailleurs été retrouvé au pied du lit chez une jeune femme où il était entré par effraction", explique Me Laurent Payen.
Seul le meurtre est actuellement reproché à l’accusé, rien d’autre n’a pu être prouvé, malgré l’ADN retrouvé dans les sous-vêtements de la gramoune, indique l’avocat de la partie civile : "mais cela connoterait le contexte de ce crime de façon très particulière vu l’âge de la victime, 81 ans " .
Sa nièce s’est constituée partie civile. Elle s’occupait de la gramoune qui avait peu de relations familiales. " Elle est très affectée, indique son avocat, qu’on perde quelqu’un d’un certain âge c’est dans le cours de la vie, mais qu’on la perde de cette façon et dans ces conditions, c’est toujours quelque chose qui fait mal et qui laisse des traces."
Rappel des faits
Dans la nuit du 22 au 23 juillet 2016 au Port, une gramoune de 80 ans était sauvagement battue par un inconnu. C'est dans la matinée que le corps de la pauvre femme était retrouvé sans vie. Les enquêteurs de la brigade criminelle mettaient alors tout en oeuvre pour retrouver le moindre indice afin de confondre au plus vite l'auteur des faits.
Après avoir procédé à de nombreux interrogatoires sur les lieux du meurtre, un homme, la main bandée, apporte des éléments intrigants aux inspecteurs de la sécurité départementale. Il explique notamment que la vielle dame aurait été tuée la veille par un homme qui cherchait du Rivotril comme l'indique Le Quotidien.
Au final, l'homme au bandage, qui se nomme Terry Layemard, est confondu par son ADN qui est retrouvé sur le corps de la victime. Il est interpellé en février 2017, placé en garde à vue puis mis en examen pour meurtre. Jugé à la cour d'assises ce mercredi, il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Seul le meurtre est actuellement reproché à l’accusé, rien d’autre n’a pu être prouvé, malgré l’ADN retrouvé dans les sous-vêtements de la gramoune, indique l’avocat de la partie civile : "mais cela connoterait le contexte de ce crime de façon très particulière vu l’âge de la victime, 81 ans " .
Sa nièce s’est constituée partie civile. Elle s’occupait de la gramoune qui avait peu de relations familiales. " Elle est très affectée, indique son avocat, qu’on perde quelqu’un d’un certain âge c’est dans le cours de la vie, mais qu’on la perde de cette façon et dans ces conditions, c’est toujours quelque chose qui fait mal et qui laisse des traces."
Rappel des faits
Dans la nuit du 22 au 23 juillet 2016 au Port, une gramoune de 80 ans était sauvagement battue par un inconnu. C'est dans la matinée que le corps de la pauvre femme était retrouvé sans vie. Les enquêteurs de la brigade criminelle mettaient alors tout en oeuvre pour retrouver le moindre indice afin de confondre au plus vite l'auteur des faits.
Après avoir procédé à de nombreux interrogatoires sur les lieux du meurtre, un homme, la main bandée, apporte des éléments intrigants aux inspecteurs de la sécurité départementale. Il explique notamment que la vielle dame aurait été tuée la veille par un homme qui cherchait du Rivotril comme l'indique Le Quotidien.
Au final, l'homme au bandage, qui se nomme Terry Layemard, est confondu par son ADN qui est retrouvé sur le corps de la victime. Il est interpellé en février 2017, placé en garde à vue puis mis en examen pour meurtre. Jugé à la cour d'assises ce mercredi, il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.