
Il s’est désisté de son appel. Condamné à six mois de prison avec sursis et 10 000€ d'amende dans l'affaire dite de l'Amicale de Saint-André, Jean-Paul Virapoullé avait décidé de ne pas en rester là. Avant finalement, de choisir d’abandonner la procédure.
"Les faits de négligence ont été jugés par le tribunal (...). Les responsabilités sont là. Le délit reproché résulte de détournement de fonds par une personne, en étant au sommet de la pyramide, c'est à lui de porter la responsabilité. C'est une responsabilité pénale, certes, mais il faut l'entendre comme une responsabilité civile aussi", a déclaré ce jeudi matin son avocat, Maitre Jacques Hoareau.
Pour rappel, le maire de Saint-André a été jugé responsable d'avoir accordé des prêts sans garanties de plus de 70.000 euros à des employés communaux entre 2005 et 2007. 288.000 euros avaient ainsi échappé à tout contrôle de la collectivité.
S.H. sur place
"Les faits de négligence ont été jugés par le tribunal (...). Les responsabilités sont là. Le délit reproché résulte de détournement de fonds par une personne, en étant au sommet de la pyramide, c'est à lui de porter la responsabilité. C'est une responsabilité pénale, certes, mais il faut l'entendre comme une responsabilité civile aussi", a déclaré ce jeudi matin son avocat, Maitre Jacques Hoareau.
Pour rappel, le maire de Saint-André a été jugé responsable d'avoir accordé des prêts sans garanties de plus de 70.000 euros à des employés communaux entre 2005 et 2007. 288.000 euros avaient ainsi échappé à tout contrôle de la collectivité.
S.H. sur place