Didier Bourse, d'ATTAC Réunion, l'association pour la Taxation des Transactions financières et pour l'Action Citoyenne, estime que les 41 millions proposés par Annick Girardin pour 2 000 emplois, se suffisent pas, "quand on est capable de donner des milliards pour la nouvelle route du littoral, d'avoir des évasions fiscales à 80 milliards et des déductions fiscales à hauteur de 34 milliards pour le patronat et les grosses fortunes".
Il appelle à "relever les manches", "faire en sorte qu'on se mette ensemble, que les associations, les syndicats, les gilets jaunes, meneurs du mouvement, devront prendre les choses en main et sortir de l'auto-organisation, pour faire quelque chose de concret et que La Réunion sorte la tête de l'eau".
Pour lui, les mesures phares sont "relever le SMIC", "lutter contre la liberté des prix", ou encore "redonner la valeur à l'iSF". Il faudrait "construire un nouveau type de politique, ici on n'est pas dans l'apolitique mais au contraire une politique citoyenne, qui doit permettre de relever la tête enfin à La Réunion, pour sortir des sentiers battus".
"Il ne suffit pas d'écouter, il faut donner des vrais moyens pour sortir de cette situation", pour Didier Bourse, Annick Girardin n'a fait que des propositions déjà préparées avant sa venue.
Il appelle à "relever les manches", "faire en sorte qu'on se mette ensemble, que les associations, les syndicats, les gilets jaunes, meneurs du mouvement, devront prendre les choses en main et sortir de l'auto-organisation, pour faire quelque chose de concret et que La Réunion sorte la tête de l'eau".
Pour lui, les mesures phares sont "relever le SMIC", "lutter contre la liberté des prix", ou encore "redonner la valeur à l'iSF". Il faudrait "construire un nouveau type de politique, ici on n'est pas dans l'apolitique mais au contraire une politique citoyenne, qui doit permettre de relever la tête enfin à La Réunion, pour sortir des sentiers battus".
"Il ne suffit pas d'écouter, il faut donner des vrais moyens pour sortir de cette situation", pour Didier Bourse, Annick Girardin n'a fait que des propositions déjà préparées avant sa venue.
Bérénice Alaterre sur place