Depuis le 1er janvier 2018, le prélèvement forfaitaire unique (PFU) est devenu le standard dans la fiscalité de l’épargne, avec 12,80% d'impôt sur le revenu et 17,20% de cotisations sociales, c'est ce que l'on appelle la "flat tax”. Mise en place l’année suivante, la case 2OP permet de basculer sur un régime d’imposition au barème progressif, une option qui conquit de plus en plus de contribuables. En 2019, ils étaient 881.000 à l’avoir cochée, contre 1,55 million en 2021 selon les chiffres de la DGFiP.
Les contribuables seraient beaucoup plus nombreux encore à avoir intérêt à renoncer à cette “flat tax” qui s'applique par défaut aux intérêts ou autres gains des placements perçus (livrets bancaires, plans d'épargne logement, comptes à terme, prêts participatifs, intérêts des parts sociales, etc).
Les ménages faiblement ou non imposables qui perçoivent des revenus sur un livret fiscal ou un vieux PEL, sont les premiers à pouvoir en tirer avantage. En cochant la case 2OP, ils optent pour l’imposition au barème.
Puisqu’ils ne sont pas imposés, les intérêts ne seront pas soumis à l’impôt. En ne la cochant pas, les ménages non imposables doivent payer l’impôt sur ces intérêts au taux forfaitaire de 12,80%, même si le reste du capital ne sera pas imposé.
Pour les contribuables ayant coché cette case l'an dernier, elle est automatiquement pré-cochée pour 2023 mais peut être décochée.
Si les revenus du contribuable ont augmenté par rapport à l’année de déclaration précédente, et qu’il a intérêt à profiter de la flat tax, la DGFiP est tenue de l’alerter en fin de déclaration en ligne.
Pour rappel, la date limite de déclaration d'impôts papier est fixée au 22 mai. Les contribuables peuvent faire leur déclaration en ligne jusqu’au 8 juin 2023 à 23h59 à La Réunion.
Les contribuables seraient beaucoup plus nombreux encore à avoir intérêt à renoncer à cette “flat tax” qui s'applique par défaut aux intérêts ou autres gains des placements perçus (livrets bancaires, plans d'épargne logement, comptes à terme, prêts participatifs, intérêts des parts sociales, etc).
Les ménages faiblement ou non imposables qui perçoivent des revenus sur un livret fiscal ou un vieux PEL, sont les premiers à pouvoir en tirer avantage. En cochant la case 2OP, ils optent pour l’imposition au barème.
Puisqu’ils ne sont pas imposés, les intérêts ne seront pas soumis à l’impôt. En ne la cochant pas, les ménages non imposables doivent payer l’impôt sur ces intérêts au taux forfaitaire de 12,80%, même si le reste du capital ne sera pas imposé.
Pour les contribuables ayant coché cette case l'an dernier, elle est automatiquement pré-cochée pour 2023 mais peut être décochée.
Si les revenus du contribuable ont augmenté par rapport à l’année de déclaration précédente, et qu’il a intérêt à profiter de la flat tax, la DGFiP est tenue de l’alerter en fin de déclaration en ligne.
Pour rappel, la date limite de déclaration d'impôts papier est fixée au 22 mai. Les contribuables peuvent faire leur déclaration en ligne jusqu’au 8 juin 2023 à 23h59 à La Réunion.