Les recours de Stéphanie Branchet et Vincent Domenichini ont été examinés la semaine dernière par le tribunal administratif. La décision a été rendue ce mercredi : les élections municipales du Tampon ne seront pas annulées malgré leur demande.
Si les arguments des requérants étaient mal fondés selon le rapporteur public, les manières de Stéphanie Branchet n’ont pas joué en sa faveur non plus. Accusée de "manque de respect" et d’ "espionnage" par le rapporteur public et le président du tribunal, cette dernière a rendu 537 pages la veille de la clôture de l’instruction, espionné le maire de la commune et ne s’est même pas rendue sur place le jour de l’audience.
Les arguments des requérants pour l’annulation des élections : le taux d’abstention, des encarts publicitaires dans les journaux, des aides financières de la part de personnes morales, de la distribution de paniers et de masques. Pour le rapporteur public, le taux d’abstention était inférieur à la moyenne nationale et concernant le reste : "La vie municipale ne s’arrête pas avec les élections".
Si les arguments des requérants étaient mal fondés selon le rapporteur public, les manières de Stéphanie Branchet n’ont pas joué en sa faveur non plus. Accusée de "manque de respect" et d’ "espionnage" par le rapporteur public et le président du tribunal, cette dernière a rendu 537 pages la veille de la clôture de l’instruction, espionné le maire de la commune et ne s’est même pas rendue sur place le jour de l’audience.
Les arguments des requérants pour l’annulation des élections : le taux d’abstention, des encarts publicitaires dans les journaux, des aides financières de la part de personnes morales, de la distribution de paniers et de masques. Pour le rapporteur public, le taux d’abstention était inférieur à la moyenne nationale et concernant le reste : "La vie municipale ne s’arrête pas avec les élections".