Les faits remontent au 27 avril dernier.
Le corps d’Emmanuelle Badibanga, 32 ans, gérante d’un lieu d'événementiel à Nice, a été retrouvé sans vie dans une chambre d'hôtel du Club Med Seychellois de Sainte-Anne.
Suicide ou féminicide
Son compagnon, Thomas Debatisse, un graffeur niçois de 35 ans, connu sous le pseudonyme d’Otom, avait alors déclaré aux autorités l’avoir découverte pendue à l'accroche-serviettes de la salle de bain.
Sur place, la piste privilégiée par les policiers avait d’abord été celle d’un suicide, mais l’autopsie réalisée sur le corps de la victime a ensuite laissé penser à un meurtre par étranglement.
Thomas Debatisse, soupçonné du meurtre de sa campagne, a été incarcéré au début du mois de mai aux Seychelles.
Parallèlement, en mai dernier, le parquet de Nice a également ouvert une enquête et penche pour une mort par pendaison à la suite d'une seconde autopsie pratiquée en France.
"Il n'y a aucune trace de violences sexuelles, aucune trace de coups sur le corps, même si, un mois et demi après la première autopsie, en raison de la dégradation du corps, il faut rester prudent", avait indiqué le procureur de la République de Nice, Xavier Bonhomme, à l'AFP.
Ouverture du procès
Le procès de Thomas Debatisse a débuté jeudi dernier au palais de Justice des Seychelles et devrait durer plus d’un mois. S’il est reconnu coupable, il encourt la prison à vie.
Le corps d’Emmanuelle Badibanga, 32 ans, gérante d’un lieu d'événementiel à Nice, a été retrouvé sans vie dans une chambre d'hôtel du Club Med Seychellois de Sainte-Anne.
Suicide ou féminicide
Son compagnon, Thomas Debatisse, un graffeur niçois de 35 ans, connu sous le pseudonyme d’Otom, avait alors déclaré aux autorités l’avoir découverte pendue à l'accroche-serviettes de la salle de bain.
Sur place, la piste privilégiée par les policiers avait d’abord été celle d’un suicide, mais l’autopsie réalisée sur le corps de la victime a ensuite laissé penser à un meurtre par étranglement.
Thomas Debatisse, soupçonné du meurtre de sa campagne, a été incarcéré au début du mois de mai aux Seychelles.
Parallèlement, en mai dernier, le parquet de Nice a également ouvert une enquête et penche pour une mort par pendaison à la suite d'une seconde autopsie pratiquée en France.
"Il n'y a aucune trace de violences sexuelles, aucune trace de coups sur le corps, même si, un mois et demi après la première autopsie, en raison de la dégradation du corps, il faut rester prudent", avait indiqué le procureur de la République de Nice, Xavier Bonhomme, à l'AFP.
Ouverture du procès
Le procès de Thomas Debatisse a débuté jeudi dernier au palais de Justice des Seychelles et devrait durer plus d’un mois. S’il est reconnu coupable, il encourt la prison à vie.