
L’actuelle humanité que beaucoup d’humains considèrent en péril, pourrait-elle être sauvée par les quelques tribus primitives qui nous restent sur la planète ? Au premier abord, l’idée semble saugrenue car des humains encore plus nombreux persistent à croire au progrès. Les guerres ne seraient que des épiphénomènes, la croissance des inégalités et des tensions ne seraient que des hoquets d’une civilisation florissante et pleine d’avenir. Laissons-les rêver et regardons les choses en face et avec un peu plus de sérieux. L’urbanisation outrancière dans les cinq continents a coupé depuis longtemps le cordon ombilical qui nous reliait à la nature or, tous les vrais ethnologues, les vrais humanistes, les vrais pédagogues, les vrais psychologues vous diront que ce qui nous construit le mieux, ce qui charpente notre équilibre et notre bon sens, c’est le contact le plus intime possible avec la nature. Pourquoi ?
Tout simplement parce que ce sont bien les processus naturels qui sont à l’origine de ce que nous sommes. Ces processus naturels sont en quelque sorte, la matrice à partir de laquelle nous construisons tout le reste. Et chacun sait qu’il est impossible de construire du solide et du durable sur des base fragiles, mouvantes ou inexistantes. Pour diverses raisons, nous ne montrons plus à nos enfants les réalités du monde naturel et vivant. Alors, que font-ils ? Avec leur curiosité naturelle, ils construisent, derrière leurs écrans, un monde hallucinant, fantasmagorique mais totalement artificiel. Ces humains de demain ne sont donc pas construits. Ils ne disposent d’aucune base solide, d’aucune référence intangible. Comment, dans ces conditions, disposer de l’équilibre et du bon sens indispensable pour tracer sa route dans un monde aussi complexe ?
De nombreuses études démontrent que les enfants des campagnes ont une solidité mentale bien supérieure à celle des citadins ( https://blognutritionsante.com/2018/05/02/enfants-systeme-immunitaire/ ). Il n’y a pas d’autres explications que ce contact plus prégnant et plus équilibrant avec la nature. Divers reportages récents nous montrent des ethnologues abasourdis devant l’harmonie, la force et l’équilibre qui se dégage au sein de certaines tribus primitives d’Amazonie ou d’ailleurs, harmonie, force et équilibre qui manquent de plus en plus au sein d’un monde excessivement urbanisé. Comment peut-on imaginer un avenir glorieux à ces zombis ? Comment ne pas penser que certaines sociétés humaines sont sur le déclin et que d’autres respirent la vie, font davantage honneur à l’humain que les autres ? Et s’il y avait un avenir à cette humanité ne sommes-nous pas amenés à penser que l’avenir de ceux qui ont coupé le cordon ombilical avec mère nature, est fort compromis au profit d’une autre catégorie d’humains ?
Tout simplement parce que ce sont bien les processus naturels qui sont à l’origine de ce que nous sommes. Ces processus naturels sont en quelque sorte, la matrice à partir de laquelle nous construisons tout le reste. Et chacun sait qu’il est impossible de construire du solide et du durable sur des base fragiles, mouvantes ou inexistantes. Pour diverses raisons, nous ne montrons plus à nos enfants les réalités du monde naturel et vivant. Alors, que font-ils ? Avec leur curiosité naturelle, ils construisent, derrière leurs écrans, un monde hallucinant, fantasmagorique mais totalement artificiel. Ces humains de demain ne sont donc pas construits. Ils ne disposent d’aucune base solide, d’aucune référence intangible. Comment, dans ces conditions, disposer de l’équilibre et du bon sens indispensable pour tracer sa route dans un monde aussi complexe ?
De nombreuses études démontrent que les enfants des campagnes ont une solidité mentale bien supérieure à celle des citadins ( https://blognutritionsante.com/2018/05/02/enfants-systeme-immunitaire/ ). Il n’y a pas d’autres explications que ce contact plus prégnant et plus équilibrant avec la nature. Divers reportages récents nous montrent des ethnologues abasourdis devant l’harmonie, la force et l’équilibre qui se dégage au sein de certaines tribus primitives d’Amazonie ou d’ailleurs, harmonie, force et équilibre qui manquent de plus en plus au sein d’un monde excessivement urbanisé. Comment peut-on imaginer un avenir glorieux à ces zombis ? Comment ne pas penser que certaines sociétés humaines sont sur le déclin et que d’autres respirent la vie, font davantage honneur à l’humain que les autres ? Et s’il y avait un avenir à cette humanité ne sommes-nous pas amenés à penser que l’avenir de ceux qui ont coupé le cordon ombilical avec mère nature, est fort compromis au profit d’une autre catégorie d’humains ?