L'Ile de La Réunion a connu en 2018 quatre épisodes d’arrivée de migrants originaires du Sri Lanka. Interrogé sur ce point par le sénateur Jean-Louis Lagourgue ce jeudi au Palais du Luxembourg, Laurent Nuñez, le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur, a annoncé que l’Etat allait rencontrer des représentants du Sri Lanka la semaine prochaine à Paris.
Cette réunion, synonyme de premier pas vis-à-vis des autorités sri-lankaises, aura lieu le 25 janvier à la Direction générale des étrangers en France. "Notre ambition est à la fois d’être protecteur du droit auquel ont droit légitimement un certain nombre de personnes, mais aussi d'être très ferme pour éviter que se reconstitue une filière d’immigration clandestine du Sri Lanka vers La Réunion et au final une nouvelle filière de traite des êtres humains", a déclaré le secrétaire d'Etat.
Après avoir rappelé que ce sont "plusieurs navires qui ont été empêchés de quitter le Sri Lanka", et que "c’était donc quelque chose d’assez positif", Laurent Nuñez a maintenu que "la politique qui a été mise en oeuvre a été celle de renforcer la surveillance des côtes, comme vous l’avez souhaité bien évidemment à La Réunion, mais aussi de prendre contact, bien en amont, avec les autorités du Sri Lanka pour définir, ensemble, une politique qui conduise à les inciter à détecter les départs."
Cette réunion, synonyme de premier pas vis-à-vis des autorités sri-lankaises, aura lieu le 25 janvier à la Direction générale des étrangers en France. "Notre ambition est à la fois d’être protecteur du droit auquel ont droit légitimement un certain nombre de personnes, mais aussi d'être très ferme pour éviter que se reconstitue une filière d’immigration clandestine du Sri Lanka vers La Réunion et au final une nouvelle filière de traite des êtres humains", a déclaré le secrétaire d'Etat.
Après avoir rappelé que ce sont "plusieurs navires qui ont été empêchés de quitter le Sri Lanka", et que "c’était donc quelque chose d’assez positif", Laurent Nuñez a maintenu que "la politique qui a été mise en oeuvre a été celle de renforcer la surveillance des côtes, comme vous l’avez souhaité bien évidemment à La Réunion, mais aussi de prendre contact, bien en amont, avec les autorités du Sri Lanka pour définir, ensemble, une politique qui conduise à les inciter à détecter les départs."