Dans le monde professionnel, les femmes bénéficient en moyenne en France d’un salaire 23 % inférieur à celui des hommes. Pire, même lorsque le travail est équivalent, cet écart est toujours de 16,8 % selon l’Observatoire des Inégalités. Les femmes risquent par ailleurs de subir plus que les hommes les effets négatifs de la crise Covid-19. En effet, elles sont 1,3 fois moins nombreuses que les hommes à disposer d'un espace dédié au télétravail à domicile et souvent bénéficiaires de contrats plus précaires.
Les femmes sont aussi les principales victimes des violences domestiques qui découlent bien souvent d’un schéma familial où l’homme n’est que trop peu associé. Ainsi, l’enquête Virage dans les Outre-mer de 2018 notait que les motifs de disputes dans couple étaient principalement liés à la gestion des tâches de la vie quotidienne (pour 38 % des couples) ou encore à l’éducation des enfants (pour 32 % des couples).
Même en politique, malgré les lois sur la parité, l’égalité ne progresse que trop lentement. À La Réunion en 2020, l’élection “historique” de 4 femmes sur les 24 communes montre encore tout le chemin qu’il reste à parcourir. Le schéma est identique dans le milieu associatif même si nous notons une évolution plus rapide qu’en politique.
C’est pour briser ce plafond de verre que cette journée est capitale.
Nous devons en tant que progressistes refuser les contraintes qui empêchent l’épanouissement des femmes. C’est le cœur même de notre engagement. Ainsi, nous sommes aujourd’hui engagés dans l’accompagnement des actions publiques qui contribuent à cette égalité : l’ouverture de places de crèches, le soutien aux associations de lutte contre les violences faites aux femmes, encourager les parcours scolaires des femmes brillantes, etc.
Notre ambition pour une société plus égalitaire passe par une nouvelle éducation dans notre société où les femmes et les hommes doivent pouvoir s’épanouir librement, à égalité et dans le respect.
Brigitte Adame,
David Belda,
Marina Ally Issé,
Arnaud Huguet.
Les femmes sont aussi les principales victimes des violences domestiques qui découlent bien souvent d’un schéma familial où l’homme n’est que trop peu associé. Ainsi, l’enquête Virage dans les Outre-mer de 2018 notait que les motifs de disputes dans couple étaient principalement liés à la gestion des tâches de la vie quotidienne (pour 38 % des couples) ou encore à l’éducation des enfants (pour 32 % des couples).
Même en politique, malgré les lois sur la parité, l’égalité ne progresse que trop lentement. À La Réunion en 2020, l’élection “historique” de 4 femmes sur les 24 communes montre encore tout le chemin qu’il reste à parcourir. Le schéma est identique dans le milieu associatif même si nous notons une évolution plus rapide qu’en politique.
C’est pour briser ce plafond de verre que cette journée est capitale.
Nous devons en tant que progressistes refuser les contraintes qui empêchent l’épanouissement des femmes. C’est le cœur même de notre engagement. Ainsi, nous sommes aujourd’hui engagés dans l’accompagnement des actions publiques qui contribuent à cette égalité : l’ouverture de places de crèches, le soutien aux associations de lutte contre les violences faites aux femmes, encourager les parcours scolaires des femmes brillantes, etc.
Notre ambition pour une société plus égalitaire passe par une nouvelle éducation dans notre société où les femmes et les hommes doivent pouvoir s’épanouir librement, à égalité et dans le respect.
Brigitte Adame,
David Belda,
Marina Ally Issé,
Arnaud Huguet.