67971 croisiéristes ont foulé le sol de La Réunion entre octobre 2017 et avril 2018. Si le chiffre n’est pas évocateur, il faut le mettre en comparaison avec les 35000 de la saison précédente.
Le nombre de croisiéristes a donc quasiment doublé d’une année à l’autre. Avec lui, le nombre de journées d’accueil a lui aussi fait un bond, 56 contre 34 en 2016, le nombre d’escales également, passant de 27 en 2016 à 42 cette saison. Dernier indicateur important pour comprendre l’attrait de plus en plus prononcé des tours opérateurs pour notre destination : le nombre de nuitées est passé de 10 en 2016 à 28 cette saison.
Un chiffre qui s’explique aussi en partie - « le malheur des uns faisant le bonheur des autres » reconnaît Azzedine Bouali, président de la FRT - grâce à la déprogrammation de certaines escales prévues à Madagascar.
Sur ces 67971 croisiéristes, il faut tout de même déduire les membres d’équipage (21025), mais la réussite se lit sur les visages des acteurs locaux, de l’Ile de La Réunion Tourisme à l’OTI ouest, en passant par les professionnels qui profitent de cette progression comme les taxiteurs, les artisans ou encore les compagnies de bus.
Le nombre de croisiéristes a donc quasiment doublé d’une année à l’autre. Avec lui, le nombre de journées d’accueil a lui aussi fait un bond, 56 contre 34 en 2016, le nombre d’escales également, passant de 27 en 2016 à 42 cette saison. Dernier indicateur important pour comprendre l’attrait de plus en plus prononcé des tours opérateurs pour notre destination : le nombre de nuitées est passé de 10 en 2016 à 28 cette saison.
Un chiffre qui s’explique aussi en partie - « le malheur des uns faisant le bonheur des autres » reconnaît Azzedine Bouali, président de la FRT - grâce à la déprogrammation de certaines escales prévues à Madagascar.
Sur ces 67971 croisiéristes, il faut tout de même déduire les membres d’équipage (21025), mais la réussite se lit sur les visages des acteurs locaux, de l’Ile de La Réunion Tourisme à l’OTI ouest, en passant par les professionnels qui profitent de cette progression comme les taxiteurs, les artisans ou encore les compagnies de bus.